Au croisement du clip et de l’oratorio, cette partition lumineuse mêle audacieusement poésie, danse, musique et sampling vocal, pour raviver en chacun de nous la flamme et l’émoi du premier amour.
Dans la cour d’école, Jonathan embrasse Latifa. C’est un coup de foudre qui bouleverse les témoins de la scène – les filles, les garçons, les profs et même le directeur – une passion qui, telle une éclipse observée à l’oeil nu, les éblouit et brûle leurs regards.
Au croisement du clip et de l’oratorio, cette partition lumineuse mêle audacieusement poésie, danse, musique et sampling vocal, pour raviver en chacun de nous la flamme et l’émoi du premier amour.
La presse
« D’une poésie et d’une justesse absolues » Michel Bélair, Le Devoir (Québec)