Serena Reinaldi - Gueule de mariée

Paris 5e
du 26 mars au 29 mai 2011
1 heure

Serena Reinaldi - Gueule de mariée

Une femme d'une trentaine d'années, en robe de mariée se retrouve par hasard dans une salle de spectacle. C’est sa vie que cette fille-là est en train de vous livrer au coin d’une table. Tout est alors prétexte à un dialogue à sens unique, à une étourdissante valse de mots et souvenirs…
  • Elle a dit non !

Elle a dit non ! Une femme d'une trentaine d'années, en robe de mariée, Maria Rosa Carmela del Pippo, se retrouve par hasard dans une salle de spectacle. Elle a quitté sa province étriquée le jour de son mariage.

Elle vient nous raconter entre deux tournées de demis, pourquoi elle a dit non ! Elle arrive en blanc, essoufflée. On la sent bouleversée. Le silence s’est fait dans le bar. Elle est gênée, elle dérange, elle le sent bien, elle se raconte.

C’est sa vie que cette fille-là est en train de vous livrer comme ça au coin d’une table. Tout est alors prétexte, invitation à un dialogue à sens unique, à une étourdissante valse de mots et souvenirs… Elle taquine les clients, avec ce que la vie lui a laissé d'humour et de coquetterie. Le public lui-même devient acteur, prenant partie dans ce monologue époustouflant de vérité. Doucement elle éclabousse la sérénité de chacun et s'offre à nous, émouvante et cruelle...

  • Note de mise en scène

Mettre en scène Gueule de mariée ; c’est dévoiler au public un « absolu » que la réalité s’acharne à nous cacher, sublimer le doute, détruire les certitudes et les conventions. Donner au personnage toute sa dimension humaine, avec ses fragilités, ses espérances, sa rage de vivre et d’aimer sans se soumettre au dictats de la bienséance. Faire triompher l’amour dans ce qu’il a de plus brut, de plus naïf et de plus drôle. Et s’il y en a une qui peut porter ce texte, c’est bien Serena Reinaldi.

Philippe Sohier

  • La presse

 " Elle excelle dans la juxtaposition de ces émotions enfouies. Elle en joue jusqu'à s'enivrer de cette fiction si proche de sa réalité... " Le Parisien

 " L’actrice nous offre une drôle de soirée en forme de strip-tease, une sorte d'effeuillage impudique, des mots qui tombent, entraînent les rêves au fond du puits, entre le rire et les larmes, là où se trouve l'émotion... " Radio Nova

 " Elle sait tirer partie du moindre incident, elle sait d'où elle part, de sa " maladie des vagues " et comme elle y revient mine de rien. Elle parle alors au futur comme dans une comédie de Tchékhov... " Avant-Scène Théâtre

 " Une représentation très originale puisqu’elle ne se déroule pas sur une scène mais dans un lieu public, de telle façon qu’on aurait pu croire cette histoire réelle. Elle taquine les clients, avec ce que la vie lui a laissé d'humour et de coquetterie. Doucement elle éclabousse la sérénité de chacun et s'offre à nous émouvante et cruelle... "  Le Provençal

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5, rue de Blainville Paris 75005 Paris

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Spectacle terminé depuis le dimanche 29 mai 2011

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