Sfarad fait revivre l’âme de Sol Hatchuel, appelée Lalla Soulika ou Sol la Tsadika, figure emblématique du judaïsme Marocain.
Sfarad fait revivre l’âme de Sol Hatchuel, appelée Lalla Soulika ou Sol la Tsadika, belle tangéroise du XIXe siècle condamnée pour insoumission.
De la prison où le cadi l’a enfermée, la jeune femme rêve de ce qu’aurait pu être sa vie, imagine les pays de la diaspora, associe sa voix et son corps à ceux des femmes qui ont transmis la mémoire d’Al Andalous dans des chants judéo-espagnols.
Une gestuelle orientale stylisée rend à ces mélodies leur sensuelle beauté et leur grave simplicité.