Sophie Le Cam déboule sur la scène pop avec un premier album décalé et sincère, où les synthés lo-fi et la production minimaliste donnent le change à une poésie directe, impertinente et faussement naïve.
Comme un petit chien (très mignon) dans un jeu de quilles, Sophie Le Cam déboule sur la scène pop avec un premier album décalé et sincère, où les synthés lo-fi et la production délibérément minimaliste donnent le change à une poésie directe, impertinente et faussement naïve.
Sophie Le Cam c’est un peu Renaud (première période) qui aurait enfilé un sous pull de Philippe Katerine pour chanter les garçons, les chiens et le tennis.
« Un condensé d’humour et de poésie » La Face B
« Facétieuse si et seulement si c’est pour cultiver un arpent de sincérité, entre déconne et palpitant » Hexagone
« De la chanson décalée mais aussi poétique et sociétale » Longueur d’ondes
« Qu’est-ce qu’on aime cette folie » Francofans
« Magistral » Nos Enchanteurs
77 rue de Charonne 75011 Paris