En 1975, le pianiste Keith Jarrett accepte de jouer à l’Opéra de Cologne. Malgré les obstacles, le miracle se produit : une heure de musique prodigieuse, tantôt capricante, tantôt planante. Trajal Harrell construit une chorégraphie qui cherche à retrouver la grâce et la liberté du mythique Köln Concert.
Keith Jarrett, on le sait, est capable de tout. En 1975, le pianiste accepte de jouer à l’Opéra de Cologne. Mais il arrive épuisé, son humeur est exécrable. Le piano sur lequel il doit jouer n’est pas celui qu’il a demandé. Il songe à annuler le concert. Il finit quand même par se présenter sur scène. Et le miracle se produit. Jarrett improvise une heure de musique prodigieuse, tantôt capricante, tantôt planante. Il passe de la ritournelle à la transe, emprunte à la pop et au classique, fait mine de suivre des chemins connus pour mieux entraîner le public sur des voies nouvelles.
C’est sur cette musique légendaire, précédée par quelques morceaux de la chanteuse canadienne Joni Mitchell, que le new-yorkais Trajal Harrell construit l’essentiel de sa chorégraphie. Inspirée du voguing, elle se soucie peu d’« illustrer » Jarrett. Elle vise plus haut. En dialogue avec le piano, la danse cherche à retrouver, dans l’espace, la grâce et la liberté du mythique Köln Concert.
« L'histoire vaut le détour et donne le ton d'une envolée émotionnelle singulière. » Télérama sortir TT
Dommage un spectacle de danse sans vrais danseurs. Vagues tremoussements sur une musique magnifique. En fermant les yeux dans la deuxième partie on peut écouter la magnifique musique de Keith Jarret un grand artiste, ... lui.
Pour 1 Notes
Dommage un spectacle de danse sans vrais danseurs. Vagues tremoussements sur une musique magnifique. En fermant les yeux dans la deuxième partie on peut écouter la magnifique musique de Keith Jarret un grand artiste, ... lui.
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