Le riche veuf Doublemard va marier sa fille Louise à son ami Charançon qui « n’est plus jeune et ressemble à un jockey anglais » mais lui cache un premier mariage (non consommé) de Louise avec un jeune et bel officier anglais. Il persuade sa fille que son premier mari l’a abandonné… mais celui ci ressurgit le jour de la noce.
« Labiche a porté au plus haut degré le genre du vaudeville. Il crée là une galerie de personnages extrêmement vivants et joint à une science parfaite de la mécanique théâtrale un sens aigu de la caricature. Moraliste sans illusion, il brosse le tableau d’une humanité dont les intérêts et les appétits sont les seuls mobiles.
Dans Une chaîne anglaise, pièce peu connue et rarement jouée, il excelle comme à l’habitude dans les situations cocasses, les coups de théâtre, le rythme affolé, la vivacité tournoyante qui entraîne le spectateur dans un tourbillon dont il ressort, comme les acteurs, essoufflé et ravi. »
Jean-Paul Tribout
La presse
« Un petit bijou ! Délicieux comme un bonbon anglais. » Pariscope
« Un vrai petit rayon de soleil. » Les Echos
« Drôlissime Henri Courseaux. » Nouvel Obs
« Un tourbillon de légèreté. » Télérama
« On rit du début à la fin. » Témoignage Chrétien
« Tout pétille de gaîté. » Le Généraliste
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