À la lisière des contes poétiques, le roman Une Forêt dans la tête de Violaine Schwartz dresse le portrait croisé de deux femmes que tout oppose d’ordinaire dans la société, mais qui l’une et l’autre ont appris l’extrême fragilité de la vie.
Lors d’une rupture d’anévrisme, 35 % meurent sur le coup, 35 % présentent des séquelles neurologiques plus ou moins graves, les autres n’ont rien du tout. Elle est une autre.
À la lisière des contes poétiques, le roman Une Forêt dans la tête de Violaine Schwartz dresse le portrait croisé de deux femmes que tout oppose d’ordinaire dans la société, mais qui l’une et l’autre ont appris l’extrême fragilité de la vie. Via une accumulation d’images, c’est aussi le récit d’un dépassement de la peur, d’une guérison par la puissance des mots.
L’autrice, accompagnée de la chanteuse improvisatrice Claudia Solal, adapte cette prose pour la scène et se met au diapason pour arpenter de concert, par le prisme de la voix, cet éloge des chemins de traverse.
5, rue du Plateau 75019 Paris