Variété s’inspire des rencontres mythiques de Denise Glaser, animatrice de l’émission Discorama, éjectée en 1975 par Giscard d’Estaing. C’est une rêverie heureuse dans les courants et l’histoire du pays, via un grand art en mode mineur et ses vedettes : la variété, populaire ou engagée, et les traces joyeuses qu’elle laisse dans les mémoires, éclats de bijoux indélébiles.
« Le bonheur sans talent ! Non ! Ça ne donne pas de bonnes chansons ! » Denise Glaser dans Discorama, 1961
Un studio, l’ORTF des années soixante, un piano, deux chaises. L’intervieweuse élégante, talons chics et argentés, pantalon crème et cintré, poursuit sur quinze ans un entretien avec Véronika, d’abord icône des yéyés, interprète folk à la française, bientôt star oubliée. Un pianiste les accompagne et enchante chaque rendez-vous. Trois clowns délicats partent à l’aventure de la France de Barbara et de Marie Laforêt, de la guerre d’Algérie, des droits des femmes et de mai 68.
Variété s’inspire des rencontres mythiques de Denise Glaser, animatrice de l’émission Discorama, éjectée en 1975 par Giscard d’Estaing. C’est une rêverie heureuse dans les courants et l’histoire du pays, via un grand art en mode mineur et ses vedettes : la variété, populaire ou engagée, et les traces joyeuses qu’elle laisse dans les mémoires, éclats de bijoux indélébiles.
Spectacle très original et servi par 3 très bons acteurs. Beaucoup de charme dans cette évocation mi réaliste mi fantasmée des années 60-70 et d3s chansons populaires à travers l'évolution d'une chanteuse
Pour 1 Notes
Spectacle très original et servi par 3 très bons acteurs. Beaucoup de charme dans cette évocation mi réaliste mi fantasmée des années 60-70 et d3s chansons populaires à travers l'évolution d'une chanteuse
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