Diplômée du Conservatoire national supérieur d'art dramatique de Paris en 2006, Annelise Heimburger s'est d'abord formée au chant lyrique comme soprano au Conservatoire de Strasbourg.
Elle entre ensuite dans la classe-théâtre d'Annette Tuefferd au Lycée International des Pontonniers, où l'enseignement se fait en partenariat avec les professionnels du Théâtre National de Strasbourg.
Après une Hypo-Khâgne et Khâgne philosophie au Lycée Jules Ferry à Paris, elle suit les cours d'art dramatique de Bruno Wacrenier au Conservatoire du Vème arrondissement.
Elle intègre le Conservatoire national supérieur d'art dramatique de Paris en 2003 et a pour professeurs Dominique Valadié, Andrzej Seweryn, Nada Strancar, Murielle Mayette et Caroline Marcadé.
Dans le cadre des ateliers d'école elle joue sous la direction d'Alain Françon dans Tailleur pour dames de Feydeau ; de Lukas Hemleb dans Songes de Bergman/Strindberg ; et de Matthias Langhoff dans The silver tassie de Sean O'Casey.
Toujours dans le cadre du Conservatoire, elle met en scène L'Orestie d'Eschyle/Claudel avec la participation du quintett de jazz formé par Matthieu Bloch.
En 2008, Annelise retrouve Matthias Langhoff qui la fait jouer dans Dieu comme patient, Ainsi parlait Isidore Ducasse - adaptation des Chants de Maldoror de Lautréamont - aux côtés d'André Wilms et de Frédérique Lollié (Théâtre de la Ville-Abbesses ; Cluj Napoca ; Almada...). La même année, elle est assistante à la mise en scène auprès de Lukas Hemleb, pour l'opéra Ariodante de Haendel (Théâtre des Champs-Élysées, Theater an der Wien).
Elle joue à plusieurs reprises dans les créations de Gérard Watkins : La tour (2007, Théâtre de Gennevilliers) et Identité (2009-2012, La comète 347, Théâtre de la Bastille, tournée) ; ainsi que sous la direction de Bernard Sobel : Le mendiant ou la mort de Zand de Iouri Olecha (2007, TNS ; La Colline), La pierre de Marius von Mayenburg (2010, La Colline) et Amphitryon de Heinrich von Kleist (2010, MC93 de Bobigny). Elle apparaît dans La nuit de l'iguane de Tennessee Williams mis en scène par Georges Lavaudant à la MC93 (2009).
Au printemps 2012, Annelise Heimburger joue Dans la jungle des villes de Brecht mis en scène par Roger Vontobel au Théâtre national de la Colline.
En 2017, elle joue dans la dernière création de Samuel Achache et Jeanne Candel : Orféo- Je suis mort en Arcadie. En 2018 elle joue dans Seasonal affective disorder de Lola Molina, m.e.s. Lélio Plotton.
Au cours de sa formation au CNSAD, elle suit les stages de Philippe Garrel et Jean-Claude Brisseau et tourne dans Backstage, long métrage d'Emmanuelle Bercot. Cet automne 2011, Annelise Heimburger a tourné dans Renoir, la source, de Gilles Bourdos.
Elle participe à différentes fictions sous la direction de Marguerite Gâteau, Alexandre Plank, Cédric Aussir, ainsi qu'à plusieurs réalisations de Martin Quenehen pour France Culture.
Anne-Lise Heimburger écrit les chroniques théâtre de la revue Le diable probablement aux Éditions Verdier.
Malakoff scène nationale – Théâtre 71, Malakoff
Louis découvre que quelqu’un publie sur Internet en son nom. La sidération et la colère font bientôt place à la peur, quand il réalise que ce n’est pas la seule partie de son identité qui lui a été volée. Chloé Dabert déploie la langue de la première pièce de la jeune autrice québécoise Lucie Boisdamour, s’y croisent des sujets brûlants, de la place des réseaux sociaux dans nos vies à notre rapport à la démocratie.
Le Centquatre (104), Paris
Louis découvre que quelqu’un publie sur Internet en son nom. La sidération et la colère font bientôt place à la peur, quand il réalise que ce n’est pas la seule partie de son identité qui lui a été volée. Chloé Dabert déploie la langue de la première pièce de la jeune autrice québécoise Lucie Boisdamour, s’y croisent des sujets brûlants, de la place des réseaux sociaux dans nos vies à notre rapport à la démocratie.
Théâtre du Rond-Point, Paris
Un seul-en-scène haletant d'Elsa Agnès, caméleon inapprivoisé.
Bouffes du Nord, Paris
Samuel Achache traverse les motifs de l’effondrement et de la renaissance, dans une pièce fragmentaire travaillée avec les Lieder de Schumann, qui continue à explorer librement les liens entre théâtre et musique.
Points communs - Théâtre des Louvrais, Pontoise
Samuel Achache traverse les motifs de l’effondrement et de la renaissance, dans une pièce fragmentaire travaillée avec les Lieder de Schumann, qui continue à explorer librement les liens entre théâtre et musique.
TGP - CDN de Saint-Denis, Saint-Denis
Samuel Achache traverse les motifs de l’effondrement et de la renaissance, dans une pièce fragmentaire travaillée avec les Lieder de Schumann, qui continue à explorer librement les liens entre théâtre et musique.
Théâtre du Rond-Point, Paris
Variété s’inspire des rencontres mythiques de Denise Glaser, animatrice de l’émission Discorama, éjectée en 1975 par Giscard d’Estaing. C’est une rêverie heureuse dans les courants et l’histoire du pays, via un grand art en mode mineur et ses vedettes : la variété, populaire ou engagée, et les traces joyeuses qu’elle laisse dans les mémoires, éclats de bijoux indélébiles.
MC93, Bobigny
Six personnages féminins, composent des tableaux vivants pour chacune des six sonates écrites entre 1947 et 1988, interprétées sur scène par Marino Formenti. S’expriment dans ces histoires visuelles des désirs, des peurs, des visions nocturnes, saisies dans l’instant intime où elles se confrontent avec l’amour et la mort. Situé aux frontières du théâtre, de la danse, de la musique et des arts visuels, l’art de Silvia Costa cherche ici l’épure chorégraphique.
Théâtre de l'Aquarium - La vie brève, Paris
Théâtre de l'Aquarium - La vie brève, Paris
Variété s’inspire des rencontres mythiques de Denise Glaser, animatrice de l’émission Discorama, éjectée en 1975 par Giscard d’Estaing. C’est une rêverie heureuse dans les courants et l’histoire du pays, via un grand art en mode mineur et ses vedettes : la variété, populaire ou engagée, et les traces joyeuses qu’elle laisse dans les mémoires, éclats de bijoux indélébiles.
Cartoucherie - Théâtre de la Tempête, Paris