Le second concert des Wiener Philharmoniker de cette saison fera écho au précédent avec Daniel Barenboïm en décembre dernier, puisqu’après Smetana, nous les retrouvons avec Dvořák, le second grand nom (Janácek est le troisième) de l’école tchèque de cette fin de XIXe siècle.
Parmi le catalogue des concertos pour violoncelle, celui de Dvořák reste l’un des plus populaires. C’est une œuvre imprégnée de la nostalgie de l’exil (elle fut composée pendant son séjour aux Etats-Unis) et néanmoins profondément inscrite dans ses racines nationales : richesse mélodique, beauté de la matière sonore… La quintessence du romantisme. Belle traversée musicale que ce voyage proposé par les viennois et Andris Nelsons à la fois dans le Nouveau Monde et aux confins de l’Europe centrale.
Dvořák : Concerto pour violoncelle op. 104
Beethoven : Symphonie n° 6 op. 68 « Pastorale »
Remarquable en tout point. Violoncelliste solo inspiré, orchestre aux couleurs inégalables (mention spéciale pour les bois), direction à la fois analytique et engagée. Un régal
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Remarquable en tout point. Violoncelliste solo inspiré, orchestre aux couleurs inégalables (mention spéciale pour les bois), direction à la fois analytique et engagée. Un régal
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