Avec Love Chapter 2, Sharon Eyal et son complice Gai Behar signent une pièce envoûtante, rythmée par les percussions électroniques d’Ori Lichtik. Une œuvre enivrante jusqu’à l’extase !

Tiago Rodrigues imagine une famille dont la tradition est d'éliminer des fascistes. Elle se réunit à l'occasion de l'initiation de Catarina à ce rituel. Un spectacle fort qui interroge la violence au sein des démocraties. Spectacle en portugais surtitré en français. Déconseillé aux moins de 16 ans.

La compagnie australienne nous avait subjugué·es il y a quelques années avec A Simple Space. Elle revient défier les lois de la gravité avec sa dernière création, et propulse l’esprit de l’exploit et de la fête dans un feu d’artifice de figures acrobatiques épatantes.

Voici la danse de Renato Cruz, chorégraphe carioca qui puise sa matière dans les danses populaires urbaines et contemporaines. Il pose un regard aiguisé sur un monde changeant, connecté et centré sur l’image. Dans Dança frágil, les corps sont vivants, vibrants, subversifs mais aussi oppressés et vulnérables.

Après J.C., Céline : deux héros des temps modernes, deux figures archétypales pour questionner, non sans humour, les obsessions de notre époque.

Le temps des fins s’interroge, en trois parties, au devenir de notre société contemporaine dans un monde voué au changement s’il ne veut pas « s’effondrer ». Une saga environnementale, où il est question de la fin d’un monde et du début d’un autre et où l’engagement politique se fait écologique.

Après avoir circographié FIQ ! (réveille-toi) et 23 fragments de ces derniers jours, Maroussia Diaz Verbèke revient avec son cirque inventif, fragmentaire, festif et poétique. À partir de 8 ans.

Sur scène, un homme s’avance. Un certain J.C. Un homme en quête de sens tiraillé entre le rêve de sauver le monde et celui de devenir star de cinéma. C’est un peu Jean-Claude Van Damme. Mais ce n’est pas du tout lui non plus.

Plongez dans l’univers d’Amala Dianor avec ces deux pièces dans lesquelles le chorégraphe aborde les notions de transmission, d'héritage et d’appropriation.

Emily Loizeau entame une nouvelle tournée avec son dernier opus, La Souterraine qui sort à l’automne 24. Elle revient sur scène avec un son plus rock, des titres électriques, et son interprétation toujours intense et puissante.

Anne Nguyen poursuit sa recherche sur les origines des danses urbaines. Avec [Superstrat[- terme qui désigne les traces laissées dans une langue par une autre langue - la chorégraphe évoque les liens forts entre l’Afrique et l’Amérique qui ont donné naissance à la culture hip hop. Pour la première fois Carmel Loanga est seule sur scène et relève le défi de s'exposer tout en vérité.

Avec ses rythmiques hypnotiques, ses cuivres enflammés et ses mélodies irrésistibles, Arat Kilo s’est imposé sur la scène parisienne de l’éthio-jazz. Le groupe reste fidèle à l'esprit de la musique venue d'Addis Abeba mais à ce cocktail de funk joyeux, de flûtes serpentines, de mélopées bambaras et de frénésie afro-pop, s'ajoutent le spoken-word de l’américain Mike Ladd et les fulgurances vocales de la diva malienne Mamani Keita.

Nouveau voyage dans le temps ! Après « les années baroque », Hortense Belhôte explore le XIXe siècle à partir des collections du Musée d’Orsay. Plus qu’une conférence spectaculaire, ce spectacle ludique et participatif prend la forme d’un jeu d’évasion dont l’objectif est simple : entre patriarcat, colonialisme et capitalisme, comment échapper à l’héritage du XIXe siècle ?

Pas à pas, partez à la découverte du monde ; qu’il s’agisse de rencontrer un gros rocher capricieux, de s’assoupir dans la bouche d’un crocodile, de suivre un petit chat noir dans une forêt habitée de gentils esprits ou d'aller sur les traces de carottes disparues ! Ces explorations mystérieuses joliment animées sont accompagnées de l’adorable voix de Lisa Portelli, de sa guitare classique et de sonorités électro-minimales.

Depuis Place, Istiqlal et Partie, Tamara Al Saadi dialogue avec la société, pense et crée autour de questions que soulève la construction des identités, et en particulier au moment de l’adolescence.

Fabuleuses intrépides livre quatre portraits de petites filles qui ont en commun une soif de liberté et une imagination débordantes. À travers leurs voix et leurs mille et un instruments aux tessitures variées, Sarah Jeanne Ziegler et Flore Cunci accompagnent chaque petit film de sonorités douces teintées d’onirisme.

Ce concert adapté aux petites oreilles est le combo parfait ! Attendez-vous à bouger sur des comptines (gentiment) boostées en décibels qui parlent de nos compagnons chouchou les chats (mais pas que). Chat va être cool !