Alban Berg (né le 9 février 1885 à Vienne, mort le 24 décembre 1935 à Vienne). Dès son enfance, Berg compose des Lieder et des duos. En 1904, il devient l’élève, avec Anton Webern, du compositeur Arnold Schönberg, qui assurera sa formation jusqu’en 1910. De cette période datent plusieurs œuvres : les Sieben frühe Lieder, les Lieder op.2, le Quatuor à cordes op.3.
Passionné autant par la littérature que par la musique, il s’attelle à des œuvres ayant un support littéraire fort : les Cinq Lieder avec orchestre d’après des textes de cartes postales du poète Peter Altenberg (1913) et surtout l’opéra Wozzeck (1925). La même année, il achève le Concerto de chambre pour piano, violon et treize instruments à vent, écrit en hommage à Schönberg, et commence la Suite lyrique pour quatuor à cordes, premières œuvres dans lesquelles il emploie la technique dite « des douze sons ».
Il consacre ensuite le reste de son existence à la composition de Lulu, qui restera néanmoins inachevée. En avril 1935, profondément touché par la mort de la fille d’Alma Mahler, Manon Gropius, il écrit un concerto pour violon qui lui est dédié : le Concerto à la mémoire d’un ange. Avec Schönberg et Webern, Berg incarne la nouvelle école viennoise, dont le langage expressionniste a orienté une partie de la musique du XXe siècle depuis 1910.
Théâtre des Champs-Elysées, Paris
Le piano de Kovacevitch en terres Beethovénienne et romantiques.
Théâtre des Champs-Elysées, Paris
Elisabeth Leonskaja voyage de Mozart, Chopin à Schumann.
Opéra-Comique, Paris
Récital autour de George Benjamin : carte blanche est donnée au compositeur britannique qui a choisi deux interprètes, figures de son répertoire.
Théâtre des Champs-Elysées, Paris
Deux drôles d’oiseaux et le piano de Shani Diluka pour une matinée poétique en perspective.
Théâtre des Champs-Elysées, Paris
Après l’esprit russe, Les Siècles et leur chef François-Xavier Roth explorent les prémices viennoises de la modernité.
Opéra Bastille, Paris
Un univers expressionniste qui se fond avec une évidence tout aussi criante dans la mise en scène de William Kentridge, artiste visuel majeur de la scène contemporaine. Ses dessins et vidéos nous apparaissent telles des projections de l’imagination de Wozzeck, exposant l’horreur du premier conflit mondial.
Théâtre des Champs-Elysées, Paris
Théâtre des Champs-Elysées, Paris
Théâtre des Champs-Elysées, Paris
Opéra Bastille, Paris
Théâtre des Champs-Elysées, Paris
Théâtre du Châtelet, Paris