Né en 1949 en Uruguay, il vit actuellement entre Montevideo et Barcelone. En 1972, alors qu’il n’a que 23 ans, il est arrêté et emprisonné pour n’être libéré que le 14 mars 1985 à la fin de la dictature.
Treize ans d’enfermement et la découverte de l’écriture comme issue salvatrice. Depuis, il mène une carrière d’auteur dans son pays, mais aussi en France, en Italie, en Suède et en Espagne. En 1996, il a reçu le prix du Théâtre de la Ville de Montevideo pour Ma famille.
« Je voudrais dire maintenant, en peu de mots et avec beaucoup de modestie, que c’est en prison que je suis devenu un adulte. Et aussi un écrivain. Et je sens que quelque chose de ce voyage aux limites de la langue est ancré au plus profond et au plus intime de tout ce que j’ai écrit. » Carlos Liscano
Éditions Théâtrales, coll Théâtrales Jeunesse
1999 Ma famille, trad. Françoise Thanas, publiée dans Cinq pièces d’Amérique latine
2000 Les Nigauds, trad. Françoise Thanas, publiés dans Petites pièces d’auteurs 2
Autres éditeurs
Romans
2005 Sur la route d’Ithaque, trad. Jean-Marie Saint-Lu, Belfond, Nouvelles
2005 Le Rapporteur et autres récits, trad. Jean-Marie Saint-Lu, 10/18
Autres textes
2000 Le langage de la solitude, une réflexion sur le langage. Extraits parus dans « Frictions » n°3
2002 Un citoyen qui travaille et qui fait son devoir, commande de Michel Didym, Mousson d'été. Publié dans « Frictions » n° 5
2002 Je ne sais pas pourquoi nous sommes ici, commande des Théâtres de Nîmes et Varia de Bruxelles
2003 La recherche, texte écrit pour le spectacle Le Divan, Mousson d'été
2005 Un écrivain responsable, article sur Ejercicio de impunidad, paru dans « Les Lettres Françaises » du 29 mars
À paraître, septembre 2005 aux Éditions Indigo, dans le livre Uruguay, écritures dramatiques d’aujourd’hui : Le rapporteur.
Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.
Le Funambule Montmartre, Paris
Ménilmontant, Paris
Rutebeuf, Clichy La Garenne
Théâtre de l'Est Parisien, Paris