Charles Tordjman revisite le chef-d’œuvre de Reginald Rose. Ce captivant plaidoyer contre la peine de mort tient en haleine de bout en bout grâce au talent des comédiens et à une mise en scène efficace. Grand succès, c'est une reprise à ne pas manquer.

Julie Deliquet s'empare d'une pièce méconnue mais optimiste de R.W. Fassbinder. Après un triomphe en tournée, cette première adaptation en France revient pour quelques dates au TGP.

Geesche Gottfried, femme bourgeoise, souffrir d’une malédiction : ses proches qui la font tant souffrir meurent tou·te·s les un·e·s après les autres. La pièce de Fassbinder raconte l’histoire de sa lutte pour une impossible émancipation. Une très belle mise en scène de Cédric Gourmelon, avec Valérie Dréville, exceptionnelle. À partir de 16 ans.

Julie Deliquet s'empare d'une pièce méconnue mais optimiste de R.W. Fassbinder. Après un triomphe en tournée, cette première adaptation en France revient pour quelques dates au TGP.

A l'occasion d'une exposition qu'ils ne verront pas, les personnages de Botho Strauss, mis en scène par Benjamin Porée, nous tendent un miroir et posent une question cruciale : comment vivre ensemble ?

A l'occasion d'une exposition qu'ils ne verront pas, les personnages de Botho Strauss, mis en scène par Benjamin Porée, nous tendent un miroir et posent une question cruciale : comment vivre ensemble ?

L'un s'appelle Cahin et l'autre Caha. Ils avancent, ils n'en finissent pas d'avancer en s'interrogeant. Mais qui est qui ? Cahin devenant Caha et inversement.

Selon Raskine, le chef-d’œuvre de Marivaux est avant tout une pièce sur l’expérience. Dans ce quadrille pour quinquagénaires (re)jouant le tout pour le tout en virtuoses du verbe et du sentiment, une certaine élégance crépusculaire donne un relief inattendu à l’incomparable vivacité de l'œuvre.

Selon Raskine, le chef-d’œuvre de Marivaux est avant tout une pièce sur l’expérience. Dans ce quadrille pour quinquagénaires (re)jouant le tout pour le tout en virtuoses du verbe et du sentiment, une certaine élégance crépusculaire donne un relief inattendu à l’incomparable vivacité de l'œuvre.

Michel Onfray parcourt les itinéraires culinaires de Diogène, Kant, Nietzsche, Rousseau et Sartre pour accéder de manière plus oblique et inhabituelle à leur philosophie.