Avant la danse, Christian Rizzo monte un groupe de rock et une marque de vêtements à Toulouse, suit une formation d’arts plastiques à la Villa Arson à Nice et exerce plusieurs professions à Paris pendant cinq ans.
Depuis 1990, il a travaillé successivement avec Jean-Michel Ribes, Mathilde Monnier, Catherine Anne, Hervé Robbe, Mark Tompkins, Georges Appaix, Vera Montero, Catherine Contour, Emmanuelle Huynh et Rachid Ouramdane.
Avec L’association fragile, il créé :
Y’là, solo (1997)
projet-type(s) avec le compositeur Gérome Nox (1998)
objet dansant n°1 et Hello Dolly, performance avec Laure Meyrieux (1999)
100% polyester - objet dansant à définir n° 21 (accompagné de Cathy Olive) (2001)
et pourquoi pas : “bodymakers”, “falbalas”, “bazaar”, etc, etc. ?, (2001)
Un mensonge (deux nuits d’été), solo accompagné par Gérôme Nox (2001)
+ si affinités (2002)
Skull*cult, solo pour Rachid Ouramdane (2002)
avant un mois je serai revenu et nous irons ensemble en matinée, tu sais, voir la comédie où je t’ai promis de te conduire (2002)
En 2003, il est en résidence d’artiste à l’Ecole Supérieure des Beaux-Arts de Toulouse. Il commence une collaboration avec Bruno Chevillon : .../… (b) rencontre improvisée. En 2003, il présente numéro 13, une performance à la Fondation Cartier dans le cadre des soirées nomades « odorama », sur le thème des parfums.
En 2004, il crée autant vouloir le bleu du ciel et m’en aller sur un âne en collaboration avec Caty Olive et Gerome Nox.
En 2004, il crée ni fleurs, ni ford mustang pour le ballet de l’Opéra de Lyon.
Parallèlement, il crée les costumes pour des chorégraphies de Mathilde Monnier, Hervé Robbe, Jean-Marc Eder, Félix Ruckert, Emmanuelle Huynh, Rachid Ouramdane, Vera Mantero, Sylvain Prunenec, Christian Bourigault et Catherine Contour, ainsi que des bandes-son pour certains d’entre eux.
Théâtre de Corbeil-Essonnes, Corbeil-Essonne
L’histoire vraie, c’est celle d’une bande de mecs, huit danseurs, deux batteurs, la barbe en broussaille et la tête échevelée. C’est l’histoire d’un souvenir lointain et furtif, qui suscite une profonde émotion chez Christian Rizzo : une danse folklorique soudaine, improvisée par un groupe d’hommes dans les rues d’Istanbul.
Le Centquatre (104), Paris
L’histoire vraie, c’est celle d’une bande de mecs, huit danseurs, deux batteurs, la barbe en broussaille et la tête échevelée. C’est l’histoire d’un souvenir lointain et furtif, qui suscite une profonde émotion chez Christian Rizzo : une danse folklorique soudaine, improvisée par un groupe d’hommes dans les rues d’Istanbul.
Le Centquatre (104), Paris
Observer la mer et perdre son regard dans les vagues. miramar, la nouvelle création du chorégraphe Christian Rizzo appelle à divaguer et à se laisser bercer.
Théâtre Suresnes - Jean Vilar, Suresnes
Chaillot - Théâtre national de la Danse, Paris
Chaillot - Théâtre national de la Danse, Paris
Lycée Jacques Decour, Paris
L’histoire vraie, c’est celle d’une bande de mecs, huit danseurs, deux batteurs, la barbe en broussaille et la tête échevelée. C’est l’histoire d’un souvenir lointain et furtif, qui suscite une profonde émotion chez Christian Rizzo : une danse folklorique soudaine, improvisée par un groupe d’hommes dans les rues d’Istanbul.
Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, Montigny-le-Bretonneux
Chaillot - Théâtre national de la Danse, Paris
Le Centquatre (104), Paris
L’histoire vraie, c’est celle d’une bande de mecs, huit danseurs, deux batteurs, la barbe en broussaille et la tête échevelée. C’est l’histoire d’un souvenir lointain et furtif, qui suscite une profonde émotion chez Christian Rizzo : une danse folklorique soudaine, improvisée par un groupe d’hommes dans les rues d’Istanbul.
Le Centquatre (104), Paris