David Coria s’entoure d’un casting d’excellence pour un spectacle de danse flamenco accompagné au chant, à la guitare et au violoncelle.

D’un côté Jann Gallois, issue de la danse hip-hop, et de l’autre, David Coria, venu du flamenco. Ensemble, ils brisent les frontières de la danse et font fusionner leurs disciplines.

D’un côté Jann Gallois, issue de la danse hip-hop, et de l’autre, David Coria, venu du flamenco. Ensemble, ils brisent les frontières de la danse et font fusionner leurs disciplines.

D’un côté Jann Gallois, issue de la danse hip-hop, et de l’autre, David Coria, venu du flamenco. Ensemble, ils brisent les frontières de la danse et font fusionner leurs disciplines.

Le danseur David Coria et le chanteur David Lagos concoctent une rencontre peu banale où le fandango, axe transversal de la culture espagnole présent depuis plus de cinq cents ans est matière à créativité.

Le danseur David Coria et le chanteur David Lagos concoctent une rencontre peu banale où le fandango, axe transversal de la culture espagnole présent depuis plus de cinq cents ans est matière à créativité.

Riche de musiciens, chanteurs et danseurs exceptionnels, mais aussi d’un village emprunt de culture sévillane, le festival Flamenco de La Villette est devenu le rendez-vous incontournable de tous les aficionados. Trois soirées intenses, entre joie et douleur, violence et sensualité, à l’image de cet art aux origines multiples, qui n’a cessé d’évoluer au fil des rencontres.

David Coria explore toute l’histoire du flamenco, de sa naissance à nos jours, dans un parcours qui met en valeur tout son héritage. Accompagné par le guitariste Jesús Guerrero, et par la sublime danseuse Ana Morales, il se révèle être un danseur d’exception.

Avec En la memoria del cante. 1922., le Ballet flamenco de Andalucía, dirigé par Rafaela Carrasco, revient sur le premier Concurso de Cante Jondo de Grenade et rend hommage aux figures qui ont engendré le flamenco et dont l’éclat se réverbère encore quatre-vingt-dix ans plus tard. Dans le cadre de la 2e Biennale d'art flamenco de Chaillot.

Bosque Ardora nous invite au cœur d’une forêt chimérique, théâtre d’un jeu ambigu et dangereux. Elle est la Femme, à la fois Artémis, déesse chasseresse, et renard de Teumesse, créature mythologique insaisissable, séductrice et dominatrice, femme et animal. Accompagnée des danseurs Eduardo Guerrero et David Coria, ainsi que de nombreux musiciens, Rocío Molina cultive l’art de la surprise comme elle en a le secret. Dans le cadre de la 2e Biennale d'art flamenco de Chaillot.