Danseur et chorégraphe, François Lamargot s’est formé dans divers centres de formations parisiens (Kim Kan, Harmonic, AID…). Mais c’est dans la rue et en participant à des battles qu’il se complète en hip hop et plus particulièrement en break et housedance.
Sa carrière de danseur commence dès ses 17 ans dans différentes comédies musicales (Gladiateur, Belle, Belle, Belle...). Trois ans plus tard, l’envie de créer le pousse à chorégraphier sa première pièce, Horizon. C’est tout naturellement que son groupe, La XXe Tribu, l’accompagne dans cette démarche et la pièce sera finalement programmée en 2008 aux Rencontres Urbaines de la Villette.
Le mélange des disciplines reste son principal centre d’intérêt et François se dirige vers le travail en compagnie. Ses influences diverses lui permettent de travailler avec des chorégraphes aux langages variés tels que George Momboye (Le Sacre Du Printemps, Correspondances, Quatuor Bella Bartók), Salia et Seydou (Djan-Djo), Claude Brumachon (Folie), Blanca Li (Macadam Macadam) ou encore Antony Egéa (Compagnie Rêvolution) dans Clash.
En 2011, fort de ses nouvelles expériences, il présente sa deuxième pièce Akasha dans laquelle, aussi bien les danseurs que lui-même, ont gagné en maturité et ont su traduire une cohésion de groupe. Parallèlement, François devient l’assistant chorégraphe d’Anthony Egéa. Notamment pour Le Beijing Contemporary Dance Theater en juin 2011 (Middle), puis pour Rage réunissant des danseurs du continent africain. Des créations à l’échelle internationale qui contribuent à forger son inspiration et son expérience scénique.
Il poursuit son parcours d’interprète et danse plus récemment pour Ibrahim Sissoko (Liaison Quatuor, Le Lac des Cygnes), Yann Lheureux (Flagrant Délit, Instinct) ou encore Laura Scozzi (Barbe Neige et les sept petits cochons aux bois dormant). Mourad Merzouki fait également appel à lui en tant qu’assistant pour la création Wasteland en partenariat avec l’académie Fratellini.
En 2015, il présente sa troisième pièce Gardien du Temps au Festival Suresnes cités danse puis à la Maison des Métallos. Parallèlement il signe le court-métrage dansé Reflet qui fait introduction à son projet de solo présenté cette année. En 2016, il termine son second court-métrage Les Ailes de l’air.
Chorégraphier lui permet de synthétiser son parcours dont il retient les processus possibles de création tout en gardant des convictions qui font sa singularité.
« Mon mode d’expression se veut poétique. Je tente d’exprimer une réalité du monde par le langage de la métaphore et de la suggestion, tant pour les danseurs que pour les spectateurs qui s’invitent au voyage. La poésie permet une distance capable d’une autre compréhension des événements. Car elle a pour toile de fond, la paix nécessaire pour constater ce qui passe, ci et là. Or le plus grand inspirateur de mon travail reste mes rêves, une clé qui me permet de réinterroger mes certitudes. » François Lamargot.
Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.
Théâtre Suresnes - Jean Vilar, Suresnes
Aimer comme on peut détester à la folie : François Lamargot s’amuse de l’ambiguïté des sentiments humains. Fable diablement festive, drôlement frénétique, sa nouvelle création réunit sept danseurs animés par des pulsions hip hop et contemporaines. Que la fête commence ! Dans le cadre du festival Suresnes Cités Danse. À partir de 8 ans.
Le 13e Art, Paris
Ardent, passionné, irraisonné, tout simplement fou ... François Lamargot nous plonge dans une fable diablement festive. Sa nouvelle création réunit sept danseurs au plateau pour un univers à la frontière entre l'illusion et la réalité.
Théâtre Suresnes - Jean Vilar, Suresnes
Théâtre Suresnes - Jean Vilar, Suresnes
Théâtre du Rond-Point, Paris
Théâtre Suresnes - Jean Vilar, Suresnes
Théâtre Suresnes - Jean Vilar, Suresnes
Ménilmontant, Paris
Théâtre Suresnes - Jean Vilar, Suresnes
Vingtième Théâtre, Paris