Dans sa chambre, il n’y a pas qu’un loup ! Par la fantaisie de son imagination, une petite fille donne vie à la banalité des objets. On la croit seule mais des compagnons de jeu invisibles et bavards la protègent et lui tiennent compagnie. Univers poétique, ludique et plein d’humour. À partir de 5 ans.

Dans la tradition de la Commedia dell’Arte, ce spectacle truffé de références cocasses à l’actualité aborde les thèmes du partage de l’eau, du racisme et de la tolérance. Dans le cadre historique et remarquable des Arènes de Montmartre.

Dans la tradition de la Commedia dell’Arte, ce spectacle truffé de références cocasses à l’actualité aborde les thèmes du partage de l’eau, du racisme et de la tolérance. Dans le cadre historique et remarquable des Arènes de Montmartre.

Dans la tradition de la Commedia dell’Arte, ce spectacle truffé de références cocasses à l’actualité aborde les thèmes du partage de l’eau, du racisme et de la tolérance. Dans le cadre historique et remarquable des Arènes de Montmartre.

A la suite d’une confusion administrative, le malheureux Barillon se trouve uni à sa belle-mère que l’on croit être veuve mais qui ne l’est pas puisque son mari légal que l’on croyait perdu en mer, revient après 10 années passées à dresser un phoque sur une île déserte. Une femme unie à deux hommes, et c’est le tsunami de la polygamie qui lamine le fondement même de toute morale.

Cocherel, 1364. Naissance d'une nation. Prendre des haches, des épées, des pics et puis des mots, frapper et être frappé : seize comédiens pour une épopée où l’Histoire est étrangement l’histoire de chacun.

Pierre de Craon a tenté de forcer Violaine. Il contracte la lèpre. Elle lui accorde le baiser du pardon, mais Mara sa jalouse sœur voit ce baiser et la dénonce au fiancé de Violaine qu’elles aiment toutes deux.

Hugo fait revivre la légende de l’empereur Barberousse, en y mêlant, à travers tous les personnages, des intrigues d’amour, de meurtre, d’héroïsme, de haine.

Enfants, parents, et chambardement autour d’un mort, le fils aîné. De quoi, comment est-il mort ? La question n’est pas là. Avec une jubilation rageuse, la pièce de Christophe Honoré dévoile les arrachements à la vie, à l’enfance. Et puis les oublis, les silences dissimulés derrière les fausses révoltes, les vraies douleurs. Et les déchirements, les incertitudes de l’adolescence.