De Sting à Arthur H, de Disiz la Peste à Mathieu Chedid, d’Amadou & Mariam à Vanessa Paradis, le trompettiste Ibrahim Maalouf compte depuis plusieurs années parmi les musiciens les plus sollicités à la scène et en studio dans les styles les plus variés. Pour autant le plaisir et l’enrichissement artistiques qu’il tire de ces multiples rencontres ne l’ont pas détourné de ses priorités qui demeurent la composition et le façonnement d’une œuvre personnelle où puissent s’exprimer l’étendue de ses talents d’instrumentiste et la diversité de ses influences.
Né à Beyrouth, en 1980, en pleine guerre civile, il est le fils du trompettiste Nassim Maalouf qui lui enseigne tant la technique classique occidentale à travers le répertoire baroque, classique et contemporain que la musique arabe classique à travers l’art de l’improvisation et des modes de la musique orientale. Ibrahim Maalouf présente la particularité d’être le seul trompettiste au monde à jouer sur la trompette à quarts de tons, inventée par son père dans les années 60.
Après une formation au CNSM, lauréat de nombreux concours internationaux de musique (Hongrie, Finlande, France, USA), il s’engage dans une carrière de trompettiste classique et participe à de nombreux festivals en France et à l’étranger : Festival Jeunes Solistes d’Antibes, Festival d’Automne des Jeunes interprètes, Festival de Musique Romantique de Saint-Pétersbourg, International Trumpet Guild Conferences à Dallas et New York.
Grâce à sa particularité artistique et culturelle, Ibrahim croise la route de chanteurs (Matthieu Chédid, Vincent Delerm, Georges Moustaki, Vanessa Paradis, Jeanne Cherhal, Thomas Fersen, Arthur H, Lhasa de Sela, Salif Keita, Sting et bien d’autres) et s’ouvre à d’autres univers musicaux et à de multiples influences, jonglant savamment entre jazz, rock, pop et musiques traditionnelles.
Ses trois premiers albums se sont hissés au top des ventes jazz en France. Invité au Printemps de Bourges, au Festival de Jazz de Montreux, au Festival de Beiteddine, au Montréal Jazz Festival, au Festival de Jazz de New York, à Jazz à la Villette…, Ibrahim Maalouf est l’un des musiciens les plus en vue de la scène musicale française et l’un des rares à se produire sur des scènes aux couleurs jazz, aux tendances musiques actuelles, aux influences musique du monde tout en menant de front une carrière classique. En 2010, il reçoit la Victoire de la révélation instrumentale de l’année aux Victoires du jazz de Juan-les-Pins.
Ibrahim Maalouf est également compositeur : œuvres pour formations classiques données dans le cadre du Printemps de Bourges ou du Festival de Saint-Denis en 2012, opéra hip-hop, « Alice au pays des merveilles », avec Oxmo Puccino, dans le cadre du Festival d’Ile de France 2011. Cette dernière création a remporté en 2012 le prix de la Musique originale de spectacle, décerné par la Chambre Syndicale des Editeurs de Musique.
Parallèlement à sa carrière d’interprète et de compositeur, Ibrahim Maalouf revendique une fonction de pédagogue, enseignant en conservatoire, donnant de nombreuses masterclasses dans le monde entier. Il a créé une académie de trompette orientale, dont les sessions se déroulent au Liban, afin de transmettre la technique particulière de cet instrument aux jeunes trompettistes du monde entier.
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Opéra Garnier, Paris
Pousser au maximum les possibilités de la danse académique : telle est la démarche de William Forsythe dans les deux pièces de ce programme : Rearray et Blake Works I. Le chorégraphe suédois Johan Inger, qui fait ses débuts à l’Opéra national de Paris, entrelace lui aussi une ligne classique avec un vocabulaire contemporain aussi énergique qu’onirique dans Impasse.
Le 13e Art, Paris
Pierre, jeune musicien, souffre de l’exiguïté de son appartement parisien où il lui est impossible de faire « hurler sa trompette ». Zireg, son ami écrivain, l’invite à venir s’isoler dans sa maison d’enfance pour se parler, se redécouvrir, rire, s’opposer… Avec Thibault de Montalembert et, pour la première fois au théâtre, Ibrahim Maalouf.
La Scala Paris, Paris
Le jeu du trompettiste Romain Leleu, à la fois lumineux et virtuose, fait de lui l’un des meilleurs interprètes de sa génération. Il s’amuse avec cet instrument caméléon dont l’écho lui rappelle la voix humaine. Mû par un goût prononcé pour les nouveaux répertoires et par une grande créativité artistique, il navigue entre le répertoire baroque et la création.
Théâtre Dunois, Paris
Grand Rex, Paris
La Seine Musicale - Grande Seine, Boulogne-Billancourt
Théâtre du Rond-Point, Paris
Théâtre des Champs-Elysées, Paris
Théâtre de Châtillon, Châtillon
Le Centquatre (104), Paris