On ne peut pas se passer du théâtre ! Jouer, mettre en scène Tchekhov est une expérience unique. Son théâtre vient toucher en nous quelque chose de très intime, d’extraordinairement subjectif. Dans ce chef-d'œuvre de l’intime, Brigitte Jaques-Wajeman circule avec finesse et un sens saisissant de la distance.

On ne peut pas se passer du théâtre ! Jouer, mettre en scène Tchekhov est une expérience unique. Son théâtre vient toucher en nous quelque chose de très intime, d’extraordinairement subjectif. Dans ce chef-d'œuvre de l’intime, Brigitte Jaques-Wajeman circule avec finesse et un sens saisissant de la distance.

On ne peut pas se passer du théâtre ! Jouer, mettre en scène Tchekhov est une expérience unique. Son théâtre vient toucher en nous quelque chose de très intime, d’extraordinairement subjectif. Dans ce chef-d'œuvre de l’intime, Brigitte Jaques-Wajeman circule avec finesse et un sens saisissant de la distance.

On ne peut pas se passer du théâtre ! Jouer, mettre en scène Tchekhov est une expérience unique. Son théâtre vient toucher en nous quelque chose de très intime, d’extraordinairement subjectif. Dans ce chef-d'œuvre de l’intime, Brigitte Jaques-Wajeman circule avec finesse et un sens saisissant de la distance.

On ne peut pas se passer du théâtre ! Jouer, mettre en scène Tchekhov est une expérience unique. Son théâtre vient toucher en nous quelque chose de très intime, d’extraordinairement subjectif. Dans ce chef-d'œuvre de l’intime, Brigitte Jaques-Wajeman circule avec finesse et un sens saisissant de la distance.

Bruno Geslin adapte une pièce fracassante de la Renaissance anglaise. Son théâtre pictural et charnel questionne le pouvoir, ses vices et sa vanité face à la mort.

La Porte St Martin renoue avec son Histoire et présente à un an d’intervalle, deux mises en scène radicalement différentes de la même oeuvre, par deux grands Maîtres, Michel Fau en 2017 et Peter Stein en 2018, avec Pierre Arditi, Jacques Weber et Isabelle Gélinas. Un grand moment de théâtre.

Dans leur boutique, Paulbert et Gérald pensent que, de nos jours, tout a déjà été dit, toutes les discussions ont déjà été tenues. Paulbert écrit donc des conversations originales. Et ils les vendent. Arrive Barbara, qui cherche une bouteille de vin. Une pièce à l’esprit farfelu et poétique, absolument nécessaire pour qui voudrait continuer à ne pas comprendre le monde.

Cette mise en scène d'une des plus célèbres comédies de Goldoni, maître incontesté de la comédie italienne du XVIIIème siècle, est un pur plaisir. C'est à la fois très comique, plein de panache et magnifique. Maxime d'Aboville donne une époustouflante prestation et est très bien entouré par des interprètes hors pairs.

Trois couples, et chaque fois l’apocalypse : un accouchement prématuré, une mort subite de belle-mère ou une vitale purgation de bébé ! Pour la troisième fois, Didier Bezace revient à ces Feydeau. Et par amour : il aime ces courtes comédies d’un Feydeau qui sait réinventer sur scène l’enfer de son propre couple en le hissant à hauteur de l’universel.