Madalina Constantin est née en Roumanie. Elle fait ses études à l’Académie de Théâtre de Cinéma de Bucarest.
À sa sortie, elle commence à travailler avec Catalina Buzoianu dans Lolita de Nabokov et dans L’Odyssée au Théâtre National de Bulandra et au Mic Theatre.
En 2003 elle est admise au Conservatoire National Supérieur d’Art Dramatique de Paris. La même année elle entame un compagnonnage avec Eva Doumbia, notamment sur des textes de Dieudonné Niangouna.
En 2005 elle fonde avec l’auteur et metteur en scène Alexandra Badea la compagnie Europ´artes qui défend les écritures contemporaines. Elles créent ensemble Histoires de familles de Biljina Srblianovic, La Femme comme champ de bataille de Matei Visniec ou Fuck You Europa de Nicoleta Esinescu et la création des premiers textes d’Alexandra Badea, Mode d’emploi et Contrôle d’identité.
En 2006 elle rencontre Anatoli Vassiliev, assisté de Stéphanie Lupo sur des textes de Marguerite Duras.
En 2010 elle le retrouve à Rome pour une étude sur les textes d’Anton Tchekhov, elle se passionne pour sa méthode des perspectives ludiques. Cette rencontre décisive oriente son travail d’actrice. En 2010 elle explore des textes d’Albert Camus et de Jean Genet dans le spectacle Quel chemin reste-t-il que celui du sang ? mis en scène par Sophie Rousseau à la Rose des Vents.
Elle joue pour Dieudonné Niangouna dans la mise en scène de son texte Sheda présenté à la Carrière Boulbon dans le cadre du Festival d’Avignon 2013. Dans la même édition elle joue pour la première fois dans une mise en scène de Frédéric Fisbach pour la création de Corps..., une adaptation du premier roman d’Alexandra Badea : Zone d’amour prioritaire.
Madalina Constantin partage son travail entre le théâtre et le cinéma. En Roumanie elle a tourné dans des longs métrages comme Bénie soit prison de Nicolae Margineanu, Bloodrayn de Owi Ball ou des films pour la télévision comme Gunpowder Treasure and Plot réalisé par l’anglais Guillis McKannon pour BBC. En 2008 elle tourne dans le premier long métrage de Fanny Ardant Cendres et Sang, présenté au Festival de Cannes l’année suivante.
Avec le court métrage Solitudes de Liova Jedlicki, elle remporte en 2013 le Prix d’Interprétation Féminine au Festival de Clermont-Ferrand.
La Colline (Théâtre National), Paris
Wajdi Mouawad retrace une semaine de la vie d’un homme, dans cinq versions représentant autant de possibles. Inspiré de sa propre histoire marquée par ses origines libanaises, le metteur en scène donne à voir l’influence des choix dans nos existences et interroge la frontière entre fiction et réel.
La Colline (Théâtre National), Paris
Wajdi Mouawad retrace une semaine de la vie d’un homme, dans cinq versions représentant autant de possibles. Inspiré de sa propre histoire marquée par ses origines libanaises, le metteur en scène donne à voir l’influence des choix dans nos existences et interroge la frontière entre fiction et réel.
La Colline (Théâtre National), Paris
Alexandra Badea et sa troupe d’actrices et d’acteurs poursuivent leur traversée de l’Histoire contemporaine et plus que jamais universelle de la France. Pour ce deuxième volet de la trilogie Points de non-retour, elle place au centre de l’histoire le personnage de Nora, réalisatrice de documentaires pour la radio publique française et partie sur les traces de son grand-père en Algérie.
La Colline (Théâtre National), Paris
Comment dénouer les nœuds de l’histoire, ces « points de non-retour » dont on effleure parfois les thèmes dans les repas de famille, sources de blessures et de divisions de la société français ? Dans une fresque déployée en trois parties, Alexandra Badea et ses acteurs donnent la parole à ceux que l’on n’entend pas, dans une traversée de l’histoire contemporaine et résolument universelle de la France.
La Colline (Théâtre National), Paris
Troisième opus de la trilogie Points de non-retour, [Diagonale du vide] convoque la mémoire des « enfants de la Creuse », ces jeunes Réunionnais déracinés entre 1963 et 1982 pour repeupler les zones rurales de la métropole.
La Colline (Théâtre National), Paris
Alexandra Badea et sa troupe d’actrices et d’acteurs poursuivent leur traversée de l’Histoire contemporaine et plus que jamais universelle de la France. Pour ce deuxième volet de la trilogie Points de non-retour, elle place au centre de l’histoire le personnage de Nora, réalisatrice de documentaires pour la radio publique française et partie sur les traces de son grand-père en Algérie.
Théâtre Ouvert, Paris
La Colline (Théâtre National), Paris
Comment dénouer les nœuds de l’histoire, ces « points de non-retour » dont on effleure parfois les thèmes dans les repas de famille, sources de blessures et de divisions de la société français ? Dans une fresque déployée en trois parties, Alexandra Badea et ses acteurs donnent la parole à ceux que l’on n’entend pas, dans une traversée de l’histoire contemporaine et résolument universelle de la France.
Théâtre Ouvert, Paris
Théâtre Ouvert, Paris
Théâtre de Saint-Quentin-en-Yvelines, Montigny-le-Bretonneux