Marc Debono

Marc Debono

Il commence sur scène avec deux pièces mis en scène par P. Zonta : " Si Camille me voyait " de Roland Dubillard et " Pollufission " de E.Westphal (Théâtrébauche). Puis, il travaille sous la direction de CH .Jehanin au théâtre de l’Eclipse (" Le petit siècle " de Sorel et Scarron, " Hansel et Gretel " de Grimm ; " Portrait de l’artiste " d’après Kafka, et " 1936. Les milles et un jour "). C’est dans ce même théâtre qu’il va réaliser sa première création : " Traces de va et vient " (sur les événements de 1936). Il n’arrête pas pour autant le métier de comédien et joue dans diverses créations telles que : " Madame Madeleine " (compagnie de La Pluie et du Beau Temps), " Les milles et une nuits " (ms de Claude Varry), " Au nom de la loi " (ms de Y.Guerre) et " Pour une création contemporaine " (co-mise en scène avec Philippe Adrien). Par ailleurs, il joue également au sein de deux pièces ms par Diaz Florian : " Maître Puntila et son valet Mutti " de Brecht et " Caligula " de Camus. En 1988, il fonde la compagnie du Théâtre de la Forêt et dans ce cadre il réalisera la majeur partie de ses mises en scène. A son actif, figurent autant de pièces classiques (" Le barbier de Séville " de Beaumarchais, " Le Jeu de l’Amour et du Hasard " de Marivaux, " Le Misanthrope " de Molière, " Roméo et Juliette " et " La mégère apprivoisée " de Shakespeare), que de pièces contemporaines (" Lettres après ma mort " de H.Von Kleist, " Le Légataire universel " de J.F Régnard, " Chéri " de Colette et trois orchestres de lecture sur Maupassant, Poe, Prévert et A.Daudet. Marc Debono apparaît aussi sur les écrans de télévision et de cinéma (" l’Enquêteur " de E.Grimberg et " Sac de nœuds " de J.Balasko).

Cet(te) artiste n'est pas lié(e) en ce moment à un spectacle.

De 1999 à hier - Marc Debono

Ubu roi

Ménilmontant, Paris

du 22 au 25 juil. 2010
1h30
CLASSIQUE Terminé
  • De : Alfred Jarry
  • Mise en scène : Marc Debono
  • Avec : Dominique Boisgontier, Sylvie Duchêne, Michel Daguenet, Marc Debono, Olivier Renonce
Jarry crée en Ubu un personnage inclassable, caricature de l'homme de pouvoir et symbole de la bêtise humaine dont on ne sait trop s'il faut rire ou pleurer.
En passant chez Maupassant

Aktéon, Paris

du 25 nov. 2002 au 17 janv. 2003
CLASSIQUE Terminé
  • De : Guy de Maupassant
  • Mise en scène : Marc Debono
  • Avec : Lydie Carré, Sophie Lecorre, Jean-Michel Beugnet, Marc Debono, Thierry Jahn, Martial Le Minoux
Des mots passant, d’autres qui restent. Nouvelliste reconnu et réputé, Maupassant demeure un auteur moderne par son style épuré et son écriture à la fois incisive et pleine d’humour.
28 ans, 2 mois et 19 jours

Lucernaire, Paris

du 15 mai au 10 août 2002
CONTEMPORAIN Terminé
  • De : Daniel Defoe
  • Mise en scène : Marc Debono
  • Avec : Patrice Zonta, Thierry Jahn
Librement inspiré de Robinson Crusöé, de D. Defoe. La solitude de Robinson existe partout. Robinson est revenu de son voyage. Il vient nous raconter son expérience, il vient témoigner de ses joies et de ses peines. Comme dans un grand journal de bord dans lequel chaque mot est une nouvelle aventure.
Robinson Crusoë

Cinq Diamants, Paris

du 9 janv. au 14 mars 2002
CLASSIQUE Terminé
  • De : Daniel Defoe
  • Mise en scène : Marc Debono
  • Avec : Patrice Zonca
Il est de ces voyages qui méritent d'être racontés parce qu'ils sont autant de tentatives, d'exploits et de capitulations. Et si Robinson n'avait pas échoué sur une île, à peu près déserte mais plutôt dans le coeur de chaque homme. Si au lieu de se retrouver sur une plage de sable fin avec tout autour un paysage carte postale, cet homme se retrouvait égaré, oublié, sur un banc public, dans la ville, dans la rue, dont son territoire se délimite par ses souvenirs.
L'écume des jours

Lucernaire, Paris

du 5 janv. au 13 mai 2000
CLASSIQUE Terminé
  • De : Boris Vian
  • Mise en scène : Marc Debono
  • Avec : Jean-Michel Beugnet, Carole Collette, Jean Guiet, Martial Le Minoux
Des voyageurs attendant quelqu’un ou quelque chose qui ne vient pas décident, pour passer le temps et par peur du silence, de jouer l’écume des jours. On se prend au jeu, on s’identifie.