Un Rossini tardif baigné de légèreté comique, mais faisant la part belle à l’élégance de l’esprit français. Le rôle parfait pour Cyrille Dubois. Opéra chanté en français, surtitré en français.

Ballet romantique par excellence, considéré comme l'un des plus beaux joyaux du répertoire, Giselle marque l’apogée d’une nouvelle esthétique. Tutus vaporeux, gaze blanche, tulle et tarlatane envahissent la scène.

Alors que les artistes de l’Académie incarnent les personnages de L’Enfant et les Sortilèges (livret de Colette) dans la mise en scène onirique de Richard Jones, les élèves de l’École de Danse interprètent le ballet Ma Mère l’Oye (1912) dans la chorégraphie inventive de Martin Chaix. Un opéra, un ballet : deux œuvres de Ravel placées sous le signe de l’enfance et des contes, que sublime l’écrin rouge et or du Palais Garnier.

À travers ce programme, dédié au chorégraphe disparu il y a quinze ans, le Ballet de l’Opéra présentent trois œuvres créées dans les années 1970 et qui brillent d’une même intensité chorégraphique et musicale.

Ballet romantique par excellence, considéré comme l'un des plus beaux joyaux du répertoire, Giselle marque l’apogée d’une nouvelle esthétique. Tutus vaporeux, gaze blanche, tulle et tarlatane envahissent la scène.

Ballet romantique par excellence, considéré comme l'un des plus beaux joyaux du répertoire, Giselle marque l’apogée d’une nouvelle esthétique. Tutus vaporeux, gaze blanche, tulle et tarlatane envahissent la scène.

Deux pièces figurent au programme de cette soirée « américaine » : Entre Chien et Loup, une création du jeune artiste Justin Peck et le Brahms-Schönberg Quartet de son prestigieux aîné russe George Balanchine, dont le spectacle fait son entrée au répertoire de l’Opéra dans des costumes et décors imaginés par Karl Lagerfeld. Les œuvres de Poulenc et de Brahms portent brillamment ces chorégraphies de maître.

Ballet romantique par excellence, considéré comme l'un des plus beaux joyaux du répertoire, Giselle marque l’apogée d’une nouvelle esthétique. Tutus vaporeux, gaze blanche, tulle et tarlatane envahissent la scène.

S'appropriant le temps musical jusqu’à disséquer le moindre récitatif au scalpel, le cinéaste Michael Haneke projette la rage de vivre du dissoluto dans l'ici et maintenant d'un huis clos implacable, circonscrit au dernier étage d’une tour de La Défense. L'Opéra de Paris reprend cette production pour la dernière fois. Avec Karine Deshayes. En langue italienne.

À la fois conte merveilleux, comédie populaire, fable philosophique, mystère religieux, opéra maçonnique, La Flûte enchantée trouve en ce chaos sa miraculeuse simplicité : elle nous montre la peine et le baume, le jour qui triomphe de la nuit, le chemin d’amour et de fraternité qu’il faut suivre si l’on veut être digne de l’humanité. En langue allemande. Mise en scène de Robert Carsen.