Né à Haifa en Israël en 1966, il démarre sa carrière professionnelle à l’âge de seize ans comme acteur, principalement au Haïfa Théâtre et à la télévision israélienne. Après trois années au service de l’armée, il suit le cursus de l’École d’art dramatique de Beit-Zvi dont il sort diplômé avec mention en 1990. Il collabore très régulièrement à des séries et téléfilms ainsi qu’à plusieurs courts et longs-métrages, en parallèle de son parcours théâtral où il interprète notamment des pièces de Shakespeare, Arthur Miller, Martin Sherman, Jean Giraudoux. Comédien mais aussi chanteur, il se consacre tout au long de sa carrière à des comédies musicales aussi variées que Jesus Christ Superstar d’Andrew Lloyd Webber et Tim Rice dans lequel il incarne Jésus, Gambler d’Eric Woolfson, The Rocky Horror Show de Richard O’Brian, Dorian Gray de Izak Steiner où il a le rôle-titre, La Petite Sirène, My Fair Lady d’Alan Jay Lerner et Frederick Loewe ou Evita tant en Israël qu’en Europe, où il vit entre 1993 et 2013. Il voyage et travaille ainsi en Autriche, Suisse, République Tchèque au Royaume-Uni et en Allemagne.
Auteur-compositeur et interprète au sein de plusieurs groupes dans un registre pop-rock, il oeuvre également comme artiste solo et sort un premier album éponyme en 1996. Après une tournée européenne de 2004 à 2008, son dernier concert est encore en tournée en Israël.
Par ailleurs peintre et artiste visuel, il a contribué depuis les années 2000 à plus d’une vingtaine d’expositions à travers l’Europe, comme à Londres, Berlin, Hambourg, Prague, Stuttgart, Linz. L’une d’entre elles, intitulée Works till now est toujours visible à Ludwigsburg en Allemagne.
Récemment, il est distingué par le prix d’excellence de la meilleure interprétation dans une comédie musicale pour son rôle dans God of Vengeance de Shalom Ash en 2016 et celui de meilleur acteur pour sa prestation dans The Absolute Brightness of Leonard Pelkey de James Lecesne en Israël cette année. Il parle hébreu, anglais, allemand et roumain.
La Colline (Théâtre National), Paris
Wajdi Mouawad retrace une semaine de la vie d’un homme, dans cinq versions représentant autant de possibles. Inspiré de sa propre histoire marquée par ses origines libanaises, le metteur en scène donne à voir l’influence des choix dans nos existences et interroge la frontière entre fiction et réel.
La Colline (Théâtre National), Paris
Wajdi Mouawad retrace une semaine de la vie d’un homme, dans cinq versions représentant autant de possibles. Inspiré de sa propre histoire marquée par ses origines libanaises, le metteur en scène donne à voir l’influence des choix dans nos existences et interroge la frontière entre fiction et réel.
La Colline (Théâtre National), Paris
Après avoir interrogé sa responsabilité et celle de ses concitoyens dans des récits qui mettent en scène la guerre civile libanaise, Wajdi Mouawad tente de dépasser la ligne rouge qu’il s’est toujours fixée : celle d’écrire les douleurs de l’ennemi. Une pièce passionnante sur l’idée absolue de l’Autre, une reprise à voir absolument. Spectacle en langues étrangères, surtitré en français.
Les Gémeaux - Scène Nationale de Sceaux, Sceaux
Après avoir interrogé sa responsabilité et celle de ses concitoyens dans des récits qui mettent en scène la guerre civile libanaise, Wajdi Mouawad tente de dépasser la ligne rouge qu’il s’est toujours fixée : celle d’écrire les douleurs de l’ennemi. Une pièce passionnante sur l’idée absolue de l’Autre, une reprise à voir absolument. Spectacle en langues étrangères, surtitré en français.
La Colline (Théâtre National), Paris
Après avoir interrogé sa responsabilité et celle de ses concitoyens dans des récits qui mettent en scène la guerre civile libanaise, Wajdi Mouawad tente de dépasser la ligne rouge qu’il s’est toujours fixée : celle d’écrire les douleurs de l’ennemi. Une pièce passionnante sur l’idée absolue de l’Autre, une reprise à voir absolument. Spectacle en langues étrangères, surtitré en français.
La Colline (Théâtre National), Paris
Après avoir interrogé sa responsabilité et celle de ses concitoyens dans des récits qui mettent en scène la guerre civile libanaise, Wajdi Mouawad tente de dépasser la ligne rouge qu’il s’est toujours fixée : celle d’écrire les douleurs de l’ennemi. Une pièce passionnante sur l’idée absolue de l’Autre, une reprise à voir absolument. Spectacle en langues étrangères, surtitré en français.