Après une formation en cinéma et audiovisuel il intègre le Conservatoire National de Région de Rouen d’où il sortira en 2000 avec le 1er Prix d'Art Dramatique obtenu avec " Félicitations du Jury " .
Grâce à l’Unité Nomade de Formation à la mise en scène - CNSAD Paris il part à Moscou faire un stage auprès de Kama Guinkas au Théâtre d’Art de Moscou (Mkhat) ; en 2006, il intègre le Master 2 Mise en scene et dramaturgie à l’Université Nanterre Paris X au sein duquel il continue de se former (Alain Françon, Lucien et Micheline Attoun (Théâtre Ouvert)…).
Parce qu’il axe la majeure partie de son travail sur la direction d’acteur, il continue de faire régulièrement des stages de comédien, d’écriture et de chant notamment auprès de Michel Fau, Pippo Delbono, Ahmed Madani, Viviane De Muynck, Catherine Delattres, Jean-Gabriel Nordmann, Erhard Stiefel , Raphaëlle Minnaert…
Avec une partie de la promotion issue du CNR, il fonde la Compagnie du Chat Foin.
Mises en scène :
L'affaire de la rue Loucine, Paul Claudel 2014)
Baiser de la Femme araignée de Manuel Puig (2007)
Une visite inopportune de Copi (2004)
Eva Peron de Copi (2001)
Les précieuses ridicules de Molière (2000)
Depuis 2003, il travaille comme assistant à la mise en scène auprès d’Alfredo Arias :
Les Noces de l’Enfant Roi (2006)
Le Palais de la Reine (2005)
Mambo mistico (2005)
Incrustations (2004)
Concha Bonita (2003)
Maria de Buenos Aires (2003).
Tout en continuant de se former, il continue de monter ses propres projets mais répond aussi à des commandes : en 2006, le chorégraphe Sylvain Groud lui confie la direction d’acteurs de Bataille intime d’après Roland Topor ; en 2005, le jazzman déjanté Laurent Dehors le charge de mettre en scène une version jazz et rock de Carmen (Que tal Carmen ? d’après Georges Bizet et Prosper Mérimée).
En 2006, il revient à l’audiovisuel sans quitter le théâtre puisqu’il réalise un documentaire sur Daniel Mesguich intitulé Corneille, Mesguich : L´aventure de la langue. Le cinéma ainsi que la musique restent toujours ses grandes passions, elles l’amèneront donc tout naturellement au , hymne à la liberté musical en hommage au cinéma.
Reine Blanche, Paris
Comment vivre son homosexualité quand on est l’aîné d’une famille marocaine, musulmane, pauvre et nombreuse ? Brahim Naït-Balk rêve du grand amour mais subit la violence, les agressions sexuelles, les humiliations quotidiennes.
Théâtre 13 - Bibliothèque, Paris
Théâtre des Sources, Fontenay-aux-Roses
Théâtre de l'Ouest Parisien, Boulogne Billancourt
Opéra Royal de Versailles, Versailles
Avant-Seine, Colombes
Chapelle St-Louis, Rouen
Chapelle St-Louis, Rouen