#Années Folles

• Un rêve, vivre les Années Folles

Des chansons de Francis Poulenc et Kurt Weill à celles de Joséphine Baker et Cole Porter, des dadaïstes au crash boursier de 1929, de Coco Chanel à Magritte, du charleston à l’invention de la vache qui rit !

• La presse

« C'est à la fois à un tour de chant et à une comédie, parfois avec des moments sombres, où l'on est convié (...) des standars de Broadway, des classiques de la chanson française et d'autres airs rares et méconnus, c'est par ce repertoire que le spectacle bien mené et interpreté, enthousiasme. » Sylvain Siclier, Le Monde

« Un beau voyage musical dans le temps (...) on salue la performance des deux comédiennes chanteuses qui changent de personnage et de siècle avec l'idée de montrer comment le monde aujourd'hui trouve une résonnance avec les années folles. » Thierry Lebon, TSF Jazz

« Les deux comédiennes chanteuses font la paire au jeu comme au chant » Froggy's Delight

« Le duo est très complémentaire et déborde d'énergie et de complicité » Ivann Galant, Reg'arts

« Spectacle de qualité intelligent divertissant : c'est frais enjoué, coquin. » A. Malamut, Radio Soleil

« Un vrai moment de plaisir » La grande parade

« Pétillante fantaisie » Le doigt dans l'oeil

• Note d'intention

Les Années folle c’est un rêve qui a été vécu et qu’on espère tous vivre un jour : une de ces époques bénies de liesse, de progression sociale, de brassages, une certaine fureur aussi, dans la joie retrouvée après la boucherie de la première guerre mondiale.

L’intérêt du livret écrit par Anne Cadilhac est de proposer, outre un éventail musical finement choisi de titres emblématiques, un parallèle entre cette époque et la nôtre : deux femmes d’aujourd’hui présentent l’histoire de deux filles du Bœuf sur le toit, cabaret mythique des Années Folles. J’ai souhaité traiter les deux époques dans une énergie commune : celle du show. Un show universitaire et un show de pur Music-hall se renvoient la balle en permanence.

Cela a permis la création de deux espaces scéniques radicalement différents et complémentaires : Un espace quasi scolaire, dénudé, lumière crue et blouses blanches, donnant naissance à un duo désopilant dominant/dominé travaillé à la manière des grands duos comiques (Laurel et Hardy notamment). Un espace Cabaret organisé autour d’un pianosalon, objet construit pour la circonstance, créant une intimité chatoyante et un brin sulfureuse, où s’ébattent deux artistes accomplies et complices.

Le spectacle est donc conçu sur une forme rythmique effrénée qui n’est pas sans rappeler la fièvre des années folles, où le spectateur pourra se divertir et s’instruire à la fois !

Sandrine Montcoudiol