26000 couverts - A bien y réfléchir, et puisque vous soulevez (...)

• Work in progress fictionnel

A bien y réfléchir, et puisque vous soulevez la question, il faudra quand même trouver un titre un peu plus percutant.

Bienvenue dans les coulisses de la compagnie 26 000 Couverts. Dans leur dernière création Ideal Club, le metteur en scène se retrouvait rapidement dépassé par les événements, dans La Répétition Publique, il a tout bonnement démissionné. C’est une fois de plus un grand « chantier » libéré des conventions : le texte et la musique ne sont pas finis, les accessoires ont été égarés, les acteurs n’y sont pour personne… La porte ouverte à toutes les fenêtres !

Dans cet univers déjanté, tout est possible ! Y compris de voir planer sur le plateau le fantôme du régisseur qui n’a pas réussi à valider ses fameuses 507 heures d’intermittences avant son décès… C’est donc l’occasion pour la joyeuse troupe de célébrer « l’absurdité risible de la mort ». Une pièce qui mêle macabre et burlesque avec brio.

• La presse

« se déploie un faux work in progress, une fictionnelle sortie de résidence sur la route d’un spectacle de rue que préparerait la compagnie et qui aurait pour thématique la mort. (...) L’ensemble est tenu et conduit le spectateur de surprise en surprise, de fausse fin en fausse fin (...). Alternent scènes burlesques, parodiques et réalistes. On arpente les problématiques de la création, de l’écriture collective, de la mise en scène avec, en toile de fond, cette fameuse thématique de la mort. Sérieux et drôle à la fois, sensible, simple et ingénieux (...) » Eric Demey, La Terrasse, 26 avril 2016

« Des imperfections aux multiples potentialités, la compagnie nous livre un spectacle improvisé à la fois grinçant, original et savoureux. » Time Out

« Le public est embarqué dans un tourbillon drolatique par des comédiens faussement désinvoltes. Une comédie pétillante, irrésistible et grinçante. C'est gonflé, quoi ! » Thierry Voisin, Télérama Sortir

« Les 26000 couverts c’est comme un bon vin, ça ne se raconte pas, ça se déguste. » Louise Pierga, Les 5Pièces.com

« Une antidote à la grisaille, une espèce de paquebot burlesque qui ne chavire que lorsque le spectateur se demande où se trouve la frontière entre la réalité et la fiction. » Stéphane Capron, Sceneweb.fr