Cette fois, je crois que c’est la bonne.
- Avec Jean-Jacques ?
- Non, ma psy.
Un abribus comme tant d’autres. S’y croisent des voyageurs qui partent, d’autres qui arrivent… Ils se regardent ou ne se regardent pas, se parlent ou s’évitent. Certains avaient rendez-vous ensemble, d’autres trompent leur solitude à l’aide d’un téléphone portable… Abribus, pour Hassane Kassi Kouyaté, c’est un fragment de vie, flash de vie, écho de paroles proférées dans un instant rêvé, un instant vécu, le temps d’une vie, le temps d’un questionnement.
Abribus est une parenthèse joyeuse, profonde et ludique de théâtre. Les acteurs dans un jeu enlevé et distancié laisseront transpirer le caractère étonnamment caustique et universel du texte… Le jeu et le plaisir n’ont jamais tué le sérieux. Amusons-nous ! nous dit Hassane Kassi Kouyaté.
Abribus, la troisième oeuvre de l’auteur belge Laurent Van Wetter, parle de nos rêves, de la petite tragédie de notre quotidien, de notre victoire éphémère, de nos travers pathétiques et surtout de notre quête d’amour où le glorieux flirte souvent avec le ridicule.
Quatre acteurs seulement jouent plus de quarante personnages. Ces personnages, dont nous n’apprenons que fortuitement au détour de leurs conversations les prénoms, sont désignés dans le texte sous des appellations emblématiques : la délaissée, la compliquée, l’amoureuse, le mangeur de cacahuètes (un boulimique), la rêveuse déçue, le scientifique… la mystique ou le surmené… tels des Caractères du moraliste La Bruyère. Entre deux passages d’autobus, ils se croisent dans des situations absurdes, cocasses, dramatiques, mais aussi dans des situations qui peuvent appartenir aux vécus de chacun d’entre nous.
L'oeuvre est souvent souriante et tendre.
Parfois je rêve d’un amour absolu et ça me rend triste, parfois je ne rêve de rien et c’est encore pire.
Ce message s'adresse plus précisement au Koro Hassane Kouyaté. Je suis un de ses "petit frère" Burkinabé de Bobo Dioulasso, nous nous étions rencontré à Sète (dans l'hérault -34-) il y a 8 ou 9 ans. Depuis ce temps, j'ai eu un grave accident, j'ai perdu ses coordonnées. Ca m'a fait plaisir de le voir dans une emission sur la chaîne France Ô, c'est en tapant son nom sur "Google" que j'ai eu ces coordonnées, qui pour moi ne sont qu'une issue pour reprendre contact avec lui. Par la même, je l'informe que nous avons fondé une association qui s'appelle Vent d'Afrique (site : http://vent.afrique.free.fr ). Je vous remercie de lui faire parvenir ce message afin que nous puissions travailler ensemble dans la culture. Merci d'avance.
Ce message s'adresse plus précisement au Koro Hassane Kouyaté. Je suis un de ses "petit frère" Burkinabé de Bobo Dioulasso, nous nous étions rencontré à Sète (dans l'hérault -34-) il y a 8 ou 9 ans. Depuis ce temps, j'ai eu un grave accident, j'ai perdu ses coordonnées. Ca m'a fait plaisir de le voir dans une emission sur la chaîne France Ô, c'est en tapant son nom sur "Google" que j'ai eu ces coordonnées, qui pour moi ne sont qu'une issue pour reprendre contact avec lui. Par la même, je l'informe que nous avons fondé une association qui s'appelle Vent d'Afrique (site : http://vent.afrique.free.fr ). Je vous remercie de lui faire parvenir ce message afin que nous puissions travailler ensemble dans la culture. Merci d'avance.
Place du théâtre (quartier de la Mairie) 94130 Nogent-sur-Marne
Voiture : Autoroute A4, au niveau de la Porte de Bercy en venant de Paris, prendre la sortie n° 5 “Nogent-sur-Marne”, rester sur la voie de gauche.