Ce projet est né de l’envie d’explorer le mystère de l’adolescence. Ce passage étrange entre l’enfance et l’âge adulte, une période qui échappe au contrôle parental, avec ses zones d’ombres et de lumières et ses secrets chuchotés, le soir venu.
À quoi pensent les adolescents ? Après quoi courent les musiciens ?
Ce projet est né de l’envie d’explorer le mystère de l’adolescence. Ce passage étrange entre l’enfance et l’âge adulte, une période qui échappe au contrôle parental, avec ses zones d’ombres et de lumières et ses secrets chuchotés, le soir venu.
Séverine Chavrier a réuni quatre apprentis musiciens qui font leur gamme, quotidiennement, invariablement. Ils se sont engagés dans cette aventure théâtrale et musicale sans hésiter, dévoilant un peu de leur vie, de leurs désirs, de leurs rêves de musiciens, de la peur de l’échec. Ils parlent des maîtres, anciens ou pas, des pères, biologiques et spirituels. Ils sont passionnés, très passionnés, affirment-ils crânement. Parlent de Schönberg qui détestait tout le monde, en particulier Stravinsky, cherchent leurs mots pour raconter l’amour, les premiers baisers au goût de paprika.
Ils sont forts et fragiles à la fois. Ils sont épatants dans leur quête de vérité absolue. Les adolescents ne trichent pas. C’est là toute leur force et leur faiblesse aussi. Car ils peuvent se blesser et parfois, certaines blessures ne cicatrisent pas. Areski, Guilain, Victor et Adèle forment un solide quatuor. Ils jouent, chantent, dansent, s’amusent, un brin provocant, un brin désinvoltes, portés par une partition musicale qu’ils commencent à peine à composer.
Ils sont tous quatre élèves au conservatoire d’Orléans. Bassoniste, pianiste, violoniste et tromboniste, le quatuor dialogue et échange sur scène sur son quotidien, la perspective de devenir musicien classique lorsque l’on est un jeune à l’heure des réseaux sociaux, l’envie qui traverse cet âge des désirs forts...
« Séverine Chavrier réussit à orchestrer le récit passionnant de la connaissance et de la construction de soi à travers un motif qui occupe une large place dans ses créations : la musique. » Sceneweb
« Un accord harmonieux de notes et de mots » Télérama TTT
Mon avis aurait été moins sévère si le spectacle s'en était tenu à sa première partie : douce-amère et poétique, pas inoubliable mais suffisamment intéressante. Notamment pour les masques, saisissants, et la méditation proposée sur ce que le temps fait à nos passions. Mais hélas ! ça continue après ça, dans un bavardage autocomplaisant où les acteurs ados n'en finissent pas de se filmer avec leurs portables et de singer ce qui a déjà été mille fois (et mieux !) incarné au cinéma. Alors le spectacle ne devient pas seulement ennuyeux, il devient franchement désagréable. Interminable plainte nombriliste d'enfants bourgeois qui minaudent et s'écoutent parler sur leurs smartphones. Pitié!
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Mon avis aurait été moins sévère si le spectacle s'en était tenu à sa première partie : douce-amère et poétique, pas inoubliable mais suffisamment intéressante. Notamment pour les masques, saisissants, et la méditation proposée sur ce que le temps fait à nos passions. Mais hélas ! ça continue après ça, dans un bavardage autocomplaisant où les acteurs ados n'en finissent pas de se filmer avec leurs portables et de singer ce qui a déjà été mille fois (et mieux !) incarné au cinéma. Alors le spectacle ne devient pas seulement ennuyeux, il devient franchement désagréable. Interminable plainte nombriliste d'enfants bourgeois qui minaudent et s'écoutent parler sur leurs smartphones. Pitié!
7, av. Pablo Picasso 92000 Nanterre
Voiture : Accès par la RN 13, place de la Boule, puis itinéraire fléché.
Accès par la A 86, direction La Défense, sortie Nanterre Centre, puis itinéraire fléché.
Depuis Paris Porte Maillot, prendre l'avenue Charles-de-Gaulle jusqu'au pont de Neuilly, après le pont, prendre à droite le boulevard circulaire direction Nanterre, suivre Nanterre Centre, puis itinéraire fléché.