Le festival Avis de turbulences accueille, aux côtés de chorégraphes en résidence, de jeunes compagnies venant de tous horizons. Audacieuse, sa programmation offre un espace de liberté aux chorégraphes de demain. C’est un appel à la diversité, à la curiosité, où les genres se rencontrent et se croisent. La danse sera présentée sous toutes ses formes… créations, performances, expositions et vidéos.
Les spectateurs pourront suivre et découvrir le travail des chorégraphes Maxence Rey, David Gernez et Lucie Augeai, Sébastien Ly, Françoise Tartinville, Camille Ollagnier et Gilles Verièpe.
Du 06 au 11 novembre à 20h30 : W pour elle / Curiosités
Du 12 au 13 novembre à 20h30 : Outremer / Forget-me-not
Le 14 novembre à 18h : Æ
Le 15 novembre à 20h30 : Outremer / Æ
Le 20 novembre à 18h : E-scape
Du 24 au 28 novembre à 20h30 : E-scape / Emulsion Cobalt
W pour elle
W pour elle est un solo, pendant féminin au solo masculin W pour lui explorant la question de l'image de soi et de celle que l'on renvoie. C'est avec un corps féminin, cette fois, que la pièce explore sa propre scénographie à base d'élastiques, symbolisant l'altérité, dans un espace-temps différent de celui du solo masculin.
Chorégraphie : Lucie Augeai et David Gernez. Interprétation : Marie Rual. Musique : Anthony Rouchier. Création lumière : en cours. Régisseur général : Etienne Soullard. Scénographie : Matt Cabaret.
Curiositiés
Et si les personnages de Jérôme Bosch s'animaient sous nos yeux ? Ils nous raconteraient leur solitude dans ces espaces fantasmatiques et surpeuplés, leur parodie d'existence, leur drôlerie carnavalesque. Monstrueux, protéiforme, et tout aussi absurde et grotesque, le corps de Maxence Rey se fait le relais alchimique de ces ténèbres et de cet espoir qui font de Curiosities une réponse contemporaine à cet appel au vivant lancé des profondeurs du Moyen-Âge.
Conception, chorégraphie : Maxence Rey. Interprétation : Vincent Brédif, Cyril Leclerc, Maxence Rey. Création lumière : Cyril Leclerc. Création sonore : Vincent Brédif. Costume, scénographie : Frédérique de Montblanc. Réalisation costume : Sophie Hampe. Regard extérieur : Corinne Taraud.
Outremer
Outremer est une plongée dans les profondeurs de l'Être. À la manière d'une odyssée abyssale, ce quatuor de corps immergés nous invite à la rencontre de nos élans secrets, habituellement gardés sous silence.
Chorégraphie : Sébastien Ly. Assistant : Damiano Ottavio Bigi. Danse : Nikola Krizkova, Damiano Ottavio Bigi, Cécile Robin Prévallée, Sébastien Ly. Paysages sonores : Vahan Kerovpyan. Lumières : Erik Verstraete.
Forget-me-not
Solo prenant place dans le projet Les Garçons Sauvages, une succession de douze solos masculins dansé par douze danseurs différents, pensés pour eux, écrits pour eux par un même chorégraphe. Tous indépendants, tous en dialogue. Ensemble ou séparement, à deux, à trois, à douze, il n’y a ni ordre ni désordre. Dans ce spectacle aux 1 302 061 144 possibilités, le chorégraphe devient l'interprète du danseur pour l'amener à dégager une part intime, sauvage, de lui-même. Histoire dansée d'une masculinité fragmentée, Les Garçons Sauvages est un recueil de sensibilités à vif.
Danse : Quentin Balpe. Avec les voix de Marguerite Duras. Musiques de Sylvester & Jeanne Moreau. Montage vidéo de Quentin Balpe.
Æ
Le spectacle Æ prend place dans le projet Les Garçons Sauvages, une succession de douze solos masculins dansé par douze danseurs différents, pensés pour eux, écrits pour eux par un même chorégraphe. Tous indépendants, tous en dialogue. Ensemble ou séparément, à deux, à trois, à douze, il n’y a ni ordre ni désordre. Dans ce spectacle aux 1 302 061 144 possibilités, le chorégraphe devient l'interprète du danseur pour l'amener à dégager une part intime, sauvage, de lui-même. Histoire dansée d'une masculinité fragmentée, Les Garçons Sauvages est un recueil de sensibilités à vif.
Danse : Renaud Djabali. Chorégraphe : Camille Ollagnier.
E-scape
E-scape, solo mêlant vidéo numérique et musique electronica permet de creuser le thème de l’humain dans la société actuelle. Les fondements du solo sont de partir de la verticalité : la ville, à l’horizontalité : le paysage - landscape. Le corps du danseur touche la profondeur du néant et la suggestivité de la vie face à l’immensité de l’univers.
Compagnie Gilles Verièpe. Chorégraphie et interprétation : Gilles Verièpe. Musique : Vlad Roda Gil. Vidéo numérique : Fabien Maheu. Création lumière : Paul Zandbelt. Assistant à la création : Sylvain Rembert. Costumes : Arielle Chambon
Emulsion Cobalt
Descriptif à venir.
Compagnie Atmen. Chorégraphe : Françoise Tartinville.
16, rue Georgette Agutte 75018 Paris