Shakespeare fait ici le portrait d’une société enjouée, égoïste et superficielle, à l’intérieur de laquelle souffle un revigorant vent d’insouciance et de légèreté. Bénédict et Claudio, de retour de la guerre, rendent visite à Léonato. Léonato a une fille, Héro, dont Claudio tombe follement amoureux et une nièce, Béatrice. Cette dernière, célibataire endurcie, ne cesse d’exprimer son dédain pour le mariage et l'amour. Bénédict, lui aussi ne jure que par le célibat. Ce point commun suffirait à les rendre complices, mais non, au lieu de se séduire, ils s’assassinent à coup de bons mots.
Autour d’eux, on s’évertuera à les faire se marier… et dans le même temps Don Juan, frère bâtard, s’attachant les services de Marguerite, voudra faire échouer le mariage de Héro et Claudio. On veut unir les uns, désunir les autres. Shakespeare mêle ici, avec humour, haine et amour.
D’après William Shakespeare, librement adapté par Philippe Honoré.
Un scandale. Acteurs qui surjouent (quand ils n'oublient pas la moitié de leur texte), mise en scène ridicule, musique totalement inapropriée, décors et costumes grotesques. On s'ennuie et on finit par rire et à passer le temps à attendre que l'un des acteurs bute sur un mot. Shakespeare se retourne certainement dans sa tombe. A éviter absolument.
Un scandale. Acteurs qui surjouent (quand ils n'oublient pas la moitié de leur texte), mise en scène ridicule, musique totalement inapropriée, décors et costumes grotesques. On s'ennuie et on finit par rire et à passer le temps à attendre que l'un des acteurs bute sur un mot. Shakespeare se retourne certainement dans sa tombe. A éviter absolument.
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