Bertille ou la cerise sur le gâteau

Comédie gastronomique
Les auteurs au Menu
Note de mise en scène
La presse

• Comédie gastronomique

Bertille, jeune femme gourmande et spontanée, a décidé de casser sa tirelire afin de s’offrir le rêve de sa vie : un somptueux dîner dans un grand restaurant gastronomique... Parée de mille feux pour cette soirée inoubliable, elle débarque avec naïveté dans les hautes sphères de la gastronomie française et, avec humour et tendresse, dévore le caviar de la littérature gourmande. De Pline l’Ancien à Alfred de Musset en passant par Marcel Proust, Oscar Wilde et l’incontournable Brillat Savarin, elle nous embarque à bras le corps dans les cuisines de la vie !

• Les auteurs au Menu

Champagne
Christian Pol-Roger

Mignardises
Paul Bocuse - André Gide - Oscar Wilde - Marcel Proust - Brillat-Savarin

Potages
Jean Cocteau - Pierre Dac - Jacques de Lacretelle

Poissons et Crustacés
Stéphanie Tesson - Pline l’Ancien - Eugène Vermersch - Brillat-Savarin

Entrées et volailles
Emmanuelle Eeckhout - Léo Larguier

Plats
Laurent Maurel

Salades
Danielle Dumas - Bernard Avron

Vins
Alfred de Musset - Léon Bloy

Fromages
Raoul Ponchon

Desserts
Frantz Herman - Céline Larrigaldie

Cafés
Jacques Delille

Liqueurs
Charles Monselet

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• Note de mise en scène

Le principe du spectacle s’attachera à ne jamais voir Bertille manger.

Au cours de ce menu gastronomique, les mots viendront se substituer aux mets. Ainsi, la succession des onze plats constituant le menu de Bertille, sera prétexte à jouer des textes littéraires évoquant ses désirs culinaires. De la littérature gourmande de l’Antiquité à nos jours, Bertille se délectera en humour et en poésie, de mots d’auteurs multiples et variés. Je nomme entre autres : Pline l’Ancien, Jacques Delille, Alfred De Musset, Brillat Savarin, Charles Monselet, Bernard Avron, Raoul Ponchon etc…

En parallèle de l’approche raffinée et littéraire du spectacle, Bertille, personnage fantasque et populaire, apportera à ce repas de par la nature même de sa personnalité, un vent de spontanéité et de couleurs. C’est « la cuisine » de ces deux genres que nous nous attacherons à mélanger délicatement.

Bertille évoluera dans un décor de restaurant, représenté par une somptueuse table dressée. Dans la continuité du parti pris exposé précédemment, on ne verra jamais apparaître de nourriture. Les plats, carafes et cloches en tous genres, utilisés dans ce type de lieu se verront accompagnés d’objets liés à l’univers des mots tels que des livres, des plumes, des encriers, etc.

Pour finir, notre coquette Bertille, cerise sur le gâteau de ce spectacle, se présentera parée de la robe de ses rêves, une robe de princesse évidemment, couleur cerise… Ce costume, lui aussi acteur à part entière du spectacle, ajoutera un esprit « cabaret » au déroulement du repas. Chaque plat amené par notre serveur invisible « Mr Pierre » fera l’objet d’un effeuillage de jupons évoquant par le choix du tissu, de sa texture ou de sa couleur, le goût ou la saveur des plats proposés.

Frantz Herman

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• La presse

« Des joyaux de la littérature gourmande entrecoupés de textes originaux sur les plaisirs de la vie font de cette pièce un spectacle léger et populaire. Une table farcie d’entremets savoureux. « Choisir c’est se priver du reste » regrettait André Gide. Bertille, elle, entend bien jouir de tout. Et du reste. Sans entrave… » Libération, Orléans

« Superbe. Superbe et drôle. Vraiment très drôle. Mélange subtil de littérature, de drôlerie, d’espièglerie parfois railleuse et d’effeuillage. Sur un texte ciselé de mains de maîtres, Céline Larrigaldie jongle avec les plats comme avec les émotions. Du champagne au pousse café, la bonne femme nous tient une heure quinze durant… Et on demanderait du rab... » Rue du théâtre

« Une pièce enlevée, relevée, pimentée… A dévorer ! » L’Humanité

« Aphorismes gustatifs, panégyriques de la gourmandise, citations d’auteurs tels Proust et sa célèbre madeleine, Cocteau ou Pline l’Ancien, le verbe sous-tend un spectacle où tout concoure au plaisir des sens. Tout au long du spectacle, une vraie complicité s’installe entre Bertille et le public, qui la suit avec bonheur dans la farandole d’émotions où elle l’entraîne. Subtilité, élégance, une prestation éblouissante jouant de tous les registres. » La République du Centre

« Un grand rôle taillé sur mesure pour une comédienne si appétissante qu’on en vient à penser parfois au Parfum de Süskind… Attention : spectacle susceptible d’attiser des appétits cannibales. » France 3 Orléans

« Une grande marmite de générosité et de talent, accompagnée par l’allégresse d’un grand cru. Une pièce à déguster sans modération. Nul risque d’indigestion. » La Nouvelle République

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