Prises en otage, deux femmes qui ne se seraient peut-être jamais rencontrées, se retrouvent face à face pour affronter l’enfermement. Avec pour refuge leur imaginaire, elles échappent à la solitude et tentent d’apaiser leurs âmes inquiètes en s’évadant par la musique.
Prises en otage, deux femmes qui ne se seraient peut-être jamais rencontrées, se retrouvent face à face pour affronter l’enfermement. Avec pour refuge leur imaginaire, elles échappent à la solitude et tentent d’apaiser leurs âmes inquiètes en s’évadant par la musique.
La musique est là depuis toujours, elle les précédait, elle les accompagne, elle les poursuivra. Comme une respiration, elle s’invite dans la vie des captives et prend corps dans leurs discussions, entre peur et espoir elle offre la part de l’indicible, du rêve et de la liberté.
Une pièce jalonnée par des airs de Ferré, Gounod, Chostakovitch, Offenbach, Massenet, Saint Saëns, Berlioz, Puccini, Aznavour, de Tejada et Verdi.
C’est ce qu’on ressent devant ce spectacle foisonnant, où les deux actrices dans des rôles si dissemblables (et pourtant…) donnent le meilleur d’elles-mêmes au travers des meilleures partitions, celle de Camille au piano comme sur scène tirerait des larmes aux pierres.
Une pièce captivante, deux actrices impressionnantes par leur force et la diversité de leurs talents. 90 minutes sans répit, une belle variété de sujets abordés avec finesse et de belles questions. Merci beaucoup et bravo.
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C’est ce qu’on ressent devant ce spectacle foisonnant, où les deux actrices dans des rôles si dissemblables (et pourtant…) donnent le meilleur d’elles-mêmes au travers des meilleures partitions, celle de Camille au piano comme sur scène tirerait des larmes aux pierres.
Une pièce captivante, deux actrices impressionnantes par leur force et la diversité de leurs talents. 90 minutes sans répit, une belle variété de sujets abordés avec finesse et de belles questions. Merci beaucoup et bravo.
8, rue de Nesle 75006 Paris