C‘est une histoire d’amour entre une femme blanche et un homme noir. Une même histoire, deux regards, deux continents, deux voix. À partir de 14 ans.
À partir de 14 ans.
C‘est une histoire d’amour entre une femme blanche et un homme noir. Lui vient de loin, elle vient d’ici. Roxane et Marco sont prêts à braver toutes les frontières pour vivre leur amour. Le récit débute ailleurs et se poursuit en France, c’est aussi l’histoire de ce trajet.
Quels fantômes faut-il chasser pour faire confiance à l’autre et construire une relation basée sur l’altérité ? De quoi faut-il s’affranchir pour qu’une telle histoire puisse exister ?
Le Collectif ildi ! eldi fait le récit d’un amour hanté par l’histoire coloniale rythmée par la plume d’Hakim Bah. Une même histoire, deux regards, deux continents, deux voix.
C‘est une histoire d’amour entre une femme blanche et un homme noir. Lui vient de loin, elle vient d'ici. C’est pour elle et pour lui la même histoire d’amour. C’est pour elle et pour lui une histoire d’amour totalement différente. Les amants veulent croire avec une certaine naïveté qu’ils sont égaux face à cet amour. Ils se sentent isolés du poids de l’histoire lorsque l’amour est naissant. Ils réalisent ensuite que les espaces d’incompréhension sont multiples. Les enjeux, les contextes, les passés, les traditions ne sont pas les mêmes.
La pièce débute ailleurs et se poursuit en France, c’est aussi l’histoire de ce trajet. De quoi faut-il s’affranchir pour qu’une telle histoire puisse exister ? Quels fantômes faut ils chasser pour faire confiance à l’autre et construire une relation basée sur l’altérité ? Affronter les clichés multiples d’une telle histoire d’amour pour mieux s’en affranchir. Trouver la comédie dans la tragédie, la tragédie dans la comédie.
Il s’agit d’interroger les rapports de force et de les mettre en jeu dans la trivialité du quotidien qui est le lot de tous les couples. Il s’agit enfin de considérer que les blessures de l’histoire peuvent permettre de rassembler et d’avancer comme de diviser et de détruire. Chasser les fantômes est un pont invisible entre deux continents, une manière d’aborder par l’histoire intime, la grande histoire. l’histoire de ce trajet.
Un homme - une femme . Un noir - une blanche. La rencontre amoureuse fusionnelle dans un pays d'Afrique. L'éloignement combattu des démarches administratives pour se retrouver pour vivre pleinement cette grande passion. L'arrivée puis insidieusement, les contraintes du quotidien, le poids des cultures différentes et des attentes familiales sous-jacentes et non formulées débouchant sur la rupture brutale déchirant les coeurs et les rêves. Les deux comédiens sont touchants de vérité et d'intensité.
Je suis assez d'accord avec le commentaire qui ne se retrouve pas avec l'allusion au passé colonial dans la présentation du spectacle. Au cœur de l'histoire : les différences culturelles bien sûr mais aussi la situation des immigrés issus de certains pays. La pièce m'a plu et doit beaucoup à l'excellent jeu des comédiens.
Excellente description d'une certaine actualité.
Je n'ai pas vraiment retrouvé le "récit d'un amour hanté par l'histoire coloniale" qu'on nous annonçait. Plutôt la difficulté pour les deux protagonistes de passer des feux initiaux de l'amour à la cohabitation au quotidien dans l'incapacité où ils se sont trouvés l'un et l'autre de définir vraiment ensemble un avenir commun. Pour autant, cela reste un très bon spectacle et très bien écrit. Notamment dans sa partie finale, et très finement interprété.
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Un homme - une femme . Un noir - une blanche. La rencontre amoureuse fusionnelle dans un pays d'Afrique. L'éloignement combattu des démarches administratives pour se retrouver pour vivre pleinement cette grande passion. L'arrivée puis insidieusement, les contraintes du quotidien, le poids des cultures différentes et des attentes familiales sous-jacentes et non formulées débouchant sur la rupture brutale déchirant les coeurs et les rêves. Les deux comédiens sont touchants de vérité et d'intensité.
Je suis assez d'accord avec le commentaire qui ne se retrouve pas avec l'allusion au passé colonial dans la présentation du spectacle. Au cœur de l'histoire : les différences culturelles bien sûr mais aussi la situation des immigrés issus de certains pays. La pièce m'a plu et doit beaucoup à l'excellent jeu des comédiens.
Excellente description d'une certaine actualité.
Je n'ai pas vraiment retrouvé le "récit d'un amour hanté par l'histoire coloniale" qu'on nous annonçait. Plutôt la difficulté pour les deux protagonistes de passer des feux initiaux de l'amour à la cohabitation au quotidien dans l'incapacité où ils se sont trouvés l'un et l'autre de définir vraiment ensemble un avenir commun. Pour autant, cela reste un très bon spectacle et très bien écrit. Notamment dans sa partie finale, et très finement interprété.
94, rue du faubourg du temple 75011 Paris