Grand succès, il revient, humoriste engagé, dégagé, à la marge. Clown dérisoire ou missionnaire, comédien avant tout, Christophe Alévêque décortique l’actualité en temps et en heure, et tout ce qu’en dit la presse.
Éternel retour de Christophe Alévêque : est ce un mal nécessaire ? Grand succès, il revient, humoriste engagé, dégagé, à la marge. Clown dérisoire ou missionnaire, comédien avant tout, Alévêque décortique l’actualité en temps et en heure, et tout ce qu’en dit la presse. Revue actualisée à chaque représentation. Il déchiquette le monde, sans gilet pare-balles ni gilet jaune. « Pour s’amuser, ensemble, de nos vies, dit-il, dans une thérapie de groupe improvisée. » Sur scène, il s’emmêle dans son foutoir de feuilles : articles, prises de bec et de notes. Il met à mal l’impunité des gens de pouvoir et les manipulateurs de l’information.
Christophe Alévêque était Super Rebelle ! en 2009. Il chantait les aberrations d’une société ultralibérale dans Les Monstrueuses Actualités en 2011, puis il transformait le Rond-Point en QG de la présidentielle avec son candidat Super Rebelle ! en 2012. Dans Ça ira mieux demain en 2015, il revenait avec sa liberté de ton, son insolence et sa sagacité. En avril, ce sont les 1er et 2nd tours des élections auquels il s'attaquer, en direct de l'annonce des résultats.
Rire de tout, en avoir le droit et le garder. Parce que c’est nécessaire, politique. C’est son projet et son credo.
« Alors que la jeune génération d’humoristes parle peu ou pas de politique, Christophe Alévêque en a fait depuis plus de vingt ans son terrain de prédilection. Cette année encore, au Théâtre du Rond-Point, à Paris, et en tournée, il revient avec ses feuilles de notes et son pupitre pour délivrer une redoutable revue de presse, exercice dans lequel cet héritier de Guy Bedos excelle. [...] Exutoire face à la folie du monde, thérapie collective pour citoyens déboussolés, le spectacle de Christophe Alévêque, insolent et revigorant, tient sa promesse : on en ressort plus léger que quand on est entré, avec une furieuse envie de se déconnecter de l’info en continu. » Sandrine Blanchard – Le Monde
« Yeux facétieux, mèche rebelle, debout devant un pupitre, Christophe Alévêque promet de faire un « tour exhaustif et objectif de l’actualité ». Le public n’en croit pas un mot, ricane. [...] Le spectateur ne boude pas son plaisir d’entendre tout haut ce qu’il pense tout bas. » Nathalie Simon – Le Figaro
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