Noël 1944. Au seuil de la mort, le Prix Nobel de Littérature revient sur les questions qui l’ont toujours hanté, le pacifisme, l’attitude face aux totalitarismes, le rôle des intellectuels en politique, l’avenir de l’Europe, la religion. Et bien sûr la musique, avec en son cœur : Beethoven.
24 décembre 1944. Romain Rolland est seul chez lui à Vézelay. Agé et malade, il va s’éteindre quelques jours plus tard, le 30 décembre. Le prix Nobel de littérature, conscience morale de toute une génération, s’en doute : cette veillée de Noël est pour lui la dernière. Assis non loin de son piano, son esprit vagabonde. Il revient sur toutes les questions qui l’ont hanté depuis sa jeunesse : le pacifisme, l’attitude à adopter face aux totalitarismes, le rôle des intellectuels dans la politique, l’avenir de la France et de l’Europe, la religion. Et la musique bien sûr qui s’entremêle à ses réflexions. De temps à autre, il se rend à son piano. Au moment où il sent que la vie va lui échapper, le grand écrivain a une dernière aspiration : jouer l’ultime sonate, l’opus 111, de celui à qui il a consacré une grande partie de son œuvre et fini par s’identifier : Beethoven
Excellent spectacle, autant pour le texte que pour la musique: magnifique sonate op.111 de Beethoven, on s'est régalés! Bravo !
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Excellent spectacle, autant pour le texte que pour la musique: magnifique sonate op.111 de Beethoven, on s'est régalés! Bravo !
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