Nominations Molière 2003 : meilleur spectacle musical
Z a épousé X et X roucoule avec Y : Doit-on le dire à Z ? Eh bien, chantez maintenant.
13 comédiens et 2 pianistes entraînés dans le tourbillon d’une comédie musicale digne d’Offenbach, née d’un des vaudevilles les plus surréalistes de Labiche
Vous ne remonterez jamais «Doit-on le dire ?»
- C’est certainement, depuis quinze ans, la question que l’on m’a le plus posée, des critiques ou journalistes aux gens de la rue, sympathiques inconnus, qui me rappelaient le bonheur qui avait été le leur au spectacle de ma version de la pièce de Labiche.
C’est à la demande de Pierre Dux que je l’avais montée une première fois à la Comédie-Française, triomphe sans précédent dans les annales de l’illustre Maison, avec couplets, musique et grand orchestre, puis reprise au Théâtre Hébertot avec deux pianistes virtuoses qui se retrouveront à mes côtés au Nouveau Théâtre Mouffetard qui a eu l’idée audacieuse, et je pense efficace, de reprendre ce spectacle jubilant pour le dernier trimestre de l’année 2002.
Plus que jamais, le public a besoin et envie de rire et de chanter et «Doit-on le dire ?» lui en donne l’occasion de façon saine, franche, intelligente et quasiment surréaliste.
Jean-Laurent Cochet
Eugène Labiche, cent ans de gaieté, de rire ; cent ans de spectateurs ravis par son «invention permanente», sa compréhension aiguë des hommes et de leurs travers ; cent ans de théâtre joué sans interruption... cent ans de jeunesse.
L’analyste Eugène Labiche passe au microscope toute une société, celle du Second Empire, dont il faisait partie.
Cette peinture sans indulgence, cruelle, dénonciatrice, a pour elle deux exceptionnelles qualités : le rire et son humanisme. Héritier de l’esprit français, Labiche sait s’amuser de choses graves, et ne pas trop se prendre au sérieux : «Je suis un rieur. Quelques-uns voient triste, moi, je vois gai ; ce n’est pas ma faute, j’ai l’oeil fait comme ça ! J’ai beau faire, je ne peux pas prendre l’homme au sérieux !...»
Philippe Rondest
jean-laurent Cochet, est décidemment un monstre sacré de la scène. Il monte à nouveau sa mise ne scene de ce Labiche totalement rénové par la mise en musique et les couplets de Jean Marsan, et qui triompha à la Comédie Française, il y a 20 ans environ, avec les excellents comédiens français, emmenés à l'époque par l'irrésistible Jacque Seyrès. Cette fois ci c'est Jean-Laurent Cochet lui-même qui mène la danse dans sa propre mise en scène, avec des acteurs de qualité inégale, dont certains de ses élèves. Dans ce tout petit théatre familial, c'est un pari réussi, et l'on s'amuse follement des ingéniosités sceniques et du numéro invraisemble de cabotinage de JL Cochet, qui va jusqu'à prendre à partie le public quand l'un de ses camarades se trompe dans son texte... Une soirée de convivialité avec un plateau qui ne se prend pas au sérieux en nous donnant ce que l'on est venu chercher : un grand moment de divertissement. A ne pas manquer
jean-laurent Cochet, est décidemment un monstre sacré de la scène. Il monte à nouveau sa mise ne scene de ce Labiche totalement rénové par la mise en musique et les couplets de Jean Marsan, et qui triompha à la Comédie Française, il y a 20 ans environ, avec les excellents comédiens français, emmenés à l'époque par l'irrésistible Jacque Seyrès. Cette fois ci c'est Jean-Laurent Cochet lui-même qui mène la danse dans sa propre mise en scène, avec des acteurs de qualité inégale, dont certains de ses élèves. Dans ce tout petit théatre familial, c'est un pari réussi, et l'on s'amuse follement des ingéniosités sceniques et du numéro invraisemble de cabotinage de JL Cochet, qui va jusqu'à prendre à partie le public quand l'un de ses camarades se trompe dans son texte... Une soirée de convivialité avec un plateau qui ne se prend pas au sérieux en nous donnant ce que l'on est venu chercher : un grand moment de divertissement. A ne pas manquer
73, rue Mouffetard 75005 Paris