Un manifeste pour la vie, une ode à la puissance féminine, une critique de la mécanisation de nos existences.
Eurydice, héroïne contemporaine, traverse la croûte terrestre pour retrouver son amant décédé. Elle rencontre multiples créatures qui font de sa route un voyage initiatique. La variation des registres (burlesque, tragique) offre au spectateur une expérience émotionnelle intense et contrastée.
« Cette réécriture ingénieuse choisit de traiter ce thème philosophique avec un humour macabre. (...)L'ambitieux pari de cette création sur le fil entre comique et tragique, rire et poésie, se révèle talentueusement tenu : cette pièce est bel et bien mortelle. » La Provence
« Dans son Eurydice aux enfers Gwendoline Destremau chante un hymne à la vie, et aux êtres qui la choisissent face à la mort ou à ce qui y ressemble, c'est-à-dire des existences vécues à moitié, à côté, par renoncement ou épuisement ou même tempérament. » Un fauteuil pour l’orchestre
« Une version dynamitée d’un conte triste. Un tel plaisir de jeu qu’on se laisse happer… par les enfers » Paris Match
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