« En 2016, j’ai été amenée à tourner avec un cheval. Sa beauté, sa sensibilité semblaient appartenir à une relation utopique entre l’homme et l’animal. Il m’a alors semblé que la meilleure façon de parler de notre époque était de le faire en compagnie d’un cheval, avec moi sur scène. En 2017, j’ai donc écrit un journal intime : je suis partie en voyage, j’ai participé à la campagne présidentielle, écouté du rap, lu de la poésie, raconté mon quotidien. Nous questionnons aujourd’hui fortement le fonctionnement et les valeurs tout en en restant prisonniers. Je voulais apprendre de la sagesse d’un cheval, le faire parler, inventer sa pensée, son regard sur notre espèce. Je souhaitais revenir à une relation plus essentielle à l’autre. Hate essaye de mettre deux espèces au même niveau. C’est une utopie bien sûr, un conte, une fable sombre où il est donné un peu plus de liberté que d’habitude à une femme et un cheval. » Laetitia Dosch
« Un moment poétique (mais en rien éthéré) où, à la sauvagerie brute de l'équidé, répond la nudité offerte de la femme » Télérama sortir
« [Un] spectacle inclassable et réjouissant, qui n’a rien à voir avec les formes de théâtre existantes. » Fabienne Darge, Le Monde
« Don Quichotte au féminin lancé dans une épopée échevelée, Laetitia Dosch est crue, paradoxale et émouvante. (…) C’est beau, libre, perturbant. Une utopie fragile et éphémère comme un château de sable, qui fait bouger les lignes et reste en tête longtemps. » Sophie Joubert, L’Humanité
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Spectacle onirique captivant, sensuel, troublant, et, au final enthousiasmant. Les deux "acteurs" nous emportent dans un univers intemporel et moderne. Bravo
Pour 2 Notes
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Spectacle onirique captivant, sensuel, troublant, et, au final enthousiasmant. Les deux "acteurs" nous emportent dans un univers intemporel et moderne. Bravo
106, rue Brancion 75015 Paris