Du film à la pièce de théâtre
La mise en scène
La presse
Fanny est célibataire et ça commence à lui peser ! Ce soir, elle a invité un collègue à dîner chez elle et compte bien en profiter. Elle veut une aventure d’un soir. Il fera l’affaire. A l’heure prévue, tout est prêt : musique douce, lumière tamisée, dessous affriolants…
« On m’a souvent demandé à propos de mon film : était-ce, au départ, une pièce de théâtre ? Et bien non, c’était bien d’un film dont j’avais rêvé, un face à face intimiste, au plus proche des corps et des peaux, pour parler de la rencontre amoureuse ; le huis clos, traduisant pour nous, la solitude de ces deux personnages au coeur de Paris. Je dis nous, car ce projet fut rapidement travaillé en collaboration avec ma muse, Martine Fontaine, pour qui j’avais créé le rôle. Une fois le scénario achevé, elle proposa de chercher un casting avec des têtes d’affiche pour permettre au film de rencontrer un plus large public.
Se faisant, elle permit au projet de connaître un joli succès. L’aventure aurait pu s’arrêter là, mais c’était sans compter les nombreux spectateurs et compagnies théâtrales qui nous conseillèrent d’en faire une pièce de théâtre. Nous décidâmes donc d’en faire une adaptation et de trouver la meilleure équipe qui soit pour mener à bien cette tâche. Une heureuse coïncidence nous amena à croiser les producteurs Mathilde Mottier et François Vila (j’avais connu Mathilde 20 ans plus tôt, alors que nous étions comédiens). Nous leur avons proposé de produire le projet avec Martine dans le rôle qui lui revenait de droit, et ils ont accepté, conquis, je crois, par l’enthousiasme de Martine à les emmener dans cette aventure.
Le destin nous a réuni de nouveau, nous avons donc de belles choses à faire ensemble. Merci de leur confiance et de leur grand engagement, et Martine, à toi de jouer ! »
Bernard Jeanjean
Distribution en alternance.
La petite musique que produit l’écriture de Bernard Jeanjean est d’abord légère et gaie puis on s’aperçoit très vite qu’elle grince, qu’elle pleure, qu’elle crie aussi, en dessous, en pudeur, elle dit souvent l’inverse de ce qu’elle exprime d’abord.
Fanny ment et se ment à elle-même par protection, par bravache. Paul est plus réservé, il se protège par reculades, par évitements. Les carapaces qu’ils se sont fabriquées, efficaces, obligatoires dans une vie qui les a malmenés, qui les a conduit à une certaine solitude vont s’effriter, craquer. Et ce n’est pas à un coup de foudre que l’on assiste, ni même à une histoire de lit, mais à une vraie histoire d’amour naissante, de l’autre, d’eux-mêmes. On suit à la loupe un apprivoisement amoureux.
La pièce parle aussi de notre époque avec la culture de l’individualisme, où s’engager est compliqué, où décevoir est douloureux, où le nombre de célibataires augmente, quand aimer est plus que jamais sujet à hypothèques. Il s’agit bien sûr d’une comédie mais elle met en jeu des fragilités, des failles, des émotions. L’intimité du théâtre la rapproche encore davantage de nous par son rythme différent du cinéma, par la proximité des acteurs. Il s’agit d’un huis clos, situation éminemment théâtrale : la scène permet d’exacerber les ambivalences, de rendre plus présents, plus proches encore, plus rugueux parfois les va-et-vient sentimentaux.
Dans la mise en scène, je veux bien sûr garder ce rythme particulier de la langue, du temps, garder l’aspect comédie mais je dirigerai les acteurs vers l’émotion, il s’agit de jouer ce voyage dans une grande sensibilité et une grande détente dans le plaisir de ce texte qui porte les acteurs. Dans un espace réaliste, il s’agit de privilégier le texte et ses ambiguïtés à travers l’essentiel : le jeu des acteurs.
Jade Duviquet
« Une pièce vraiment excellente (...) Un grand plaisir de pur théâtre. A voir absolument. » Figaroscope
« Une comédie romantique drôle et juste. » Le Figaro
« Hilarant ! » Le Parisien Magazine
« Une comédie aux conseils décalés qui ne manque pas de piquant. » Direct matin plus
« Une pièce qui donne envie d'aimer. » Santé magazine
« Le passage à la scène est une réussite, l'interprétation des comédiens met en lumière de nouvelles facettes de la situation. C'est frais et juste, cruel et charmant. » 20 minutes
« Une comédie douce et amère, dressant un portrait fort bien dessiné d'êtres en mal d'amour (…) dans une mise en scène très réaliste, les acteurs jouent sur la sincérité, rendant leurs personnages plus qu'attachants, passant de la maladresse à la tendresse, de la fragilité à l'abandon. » Pariscope
« Cette comédie romantique drôle et tendre touche juste, emmenée avec beaucoup de sincérité par Martine Fontaine et Yvon Martin. » Version Femina
« Chacun d'entre nous peut à tout moment se reconnaître dans cette comédie à l'humour doux-amer jouée par deux acteurs touchants de naturel. »Télérama
« Ce piquant face-à-face intimiste prouve que l'humour grand public à la française n'est pas condamné aux gros sabots. » A nous Paris
« Une comédie vivante qui fait passer une très bonne soirée. » Théâtral Magazine
Bonjour , vu la piéce samedi 05 12 , un bon moment , une vraie tendresse , bravo pour la partie chantée . Les deux acteurs occupent bien la scéne , et leur message passe bien , au travers d'une mise en scéne enlevée , dynamique et actuelle a recommander
Vue le samedi 14 novembre 2009. Nous avons passé un excellent moment (Bravo pour la dance et le chant ! trop fort !), cette pièce à été merveilleusement bien jouée par deux acteurs très impliqués.
pas mal la piéce jai bien aimé lhistoire et le jeu des acteurs
Bonjour , vu la piéce samedi 05 12 , un bon moment , une vraie tendresse , bravo pour la partie chantée . Les deux acteurs occupent bien la scéne , et leur message passe bien , au travers d'une mise en scéne enlevée , dynamique et actuelle a recommander
Vue le samedi 14 novembre 2009. Nous avons passé un excellent moment (Bravo pour la dance et le chant ! trop fort !), cette pièce à été merveilleusement bien jouée par deux acteurs très impliqués.
pas mal la piéce jai bien aimé lhistoire et le jeu des acteurs
40, rue de Clichy 75009 Paris