Memphis, années cinquante. Elvis Presley chante Heartbreak Hotel. La culture rock explose. Mêmes années, à New York, Merce Cunningham marque l’émergence d’une nouvelle ère pour la danse contemporaine. À Elvis Presley succèdent les Beatles, les Rolling Stones, Bob Dylan. Le rock devient une culture, un son de révolte, une parole engagée, un défouloir ou une marge. Ailleurs, Merce Cunningham fait école. Ses exigences, la rigueur et la grâce de son geste artistique se transmettent, se déploient, se transforment. Parmi ses élèves, Jean-Claude Gallotta, fou de rock et de danse, grandit aux rythmes du Velvet Underground, de Nick Drake et d’Iggy Pop, de PJ Harvey et des Clash.
Directeur du Centre chorégraphique national de Grenoble depuis près de trente ans, créateur et chorégraphe, Jean-Claude Gallotta signe des pièces majeures de l’histoire de la danse, Ulysse ; Mammame ; Docteur Labus ; Trois Générations, ou récemment L’Homme à tête de chou d’après Serge Gainsbourg revu par Alain Bashung, succès au Rond-Point en 2009. Il provoque ici un rapprochement physique, sexuel, entre le rock et la danse contemporaine. Treize morceaux emblématiques de l’histoire de la musique, des prémices aux voix déchirées de Patti Smith ou Kurt Cobain. Il entraîne les douze corps de ses danseurs dans des ballets électriques, poèmes enragés, ivres de vie et de mort, autant d’évocations brûlantes et passionnées d’un rock pur, d’un art libre.
Pierre Notte
« Le chorégraphe a écrit et chorégraphié son histoire du rock. Et c'est un best-seller. Il y a de l'amour et de la rage, et surtout une féroce envie de liberté. » Arianne Bavelier, Figaroscope
« Son histoire du rock rien qu'à lui ! Un cocktail secoué de tubes et autres chansons immortelles du golden rock. Une reprise qui fait pulser les tubes et les souvenirs. » Rosita Boisseau, Télérama TT
Rien à dire sur les chanteuses et les danseurs victimes dudit Maître. Beaucoup à dire sur le spectacle. Un catalogue niveau 6 ème, une construction narrative répétitive, des chorégraphies quasiment identiques, une voie off désespérante de poncifs. Le rock dans tout ça ? Avili, ramolli. Restez chez vous et écoutez ces rockeuses vous éviterez de subir ce pauvre usage de leur tripe. Sinon, il vous reste "les années bonheurs" de P.Sebastien c'est du même niveau mais sans prétention au moins.
La petite histoire du rock selon Gallotta sombre parfois dans la facilité. La chorégraphie est un peu brouillonne, et les danseurs pas toujours à la hauteur. Néanmoins on passe un moment agréable. C'est bref et enlevé.
L'hystérie positiv des critiques est invraisemblable.... Je vous recommande d'attendre les spectacles de fin d'année des collèges et primaires..! Gesticulations dénuées de sens, on vit ce que l'on vit parfois dans les fêtes de fin d'année à attendre le passage des plus petits pour cela cesse gentiment. Sauf que là il ne s'agit pas de nos enfants mais de jeunes danseuses et danseurs plus ou moins talentueux, marionnettes d'un chorégraphe marmonnant pense t'il avec élégance et esprit ces ballades d'adolescent et sa transcendance du rock de fatuitude. Rien n'est sincère des propos vaniteux et lourds des chorégraphies niaises bref la bonne nouvelle c'est que cela dure 1h05. Ah oui ce soir là des amis des danseurs et du maître étaient dans la salle hurlant Bravo Bravo...le spectacle commençait enfin.... A fuir
Un moment de vie et de nostalgie
Pour 5 Notes
Rien à dire sur les chanteuses et les danseurs victimes dudit Maître. Beaucoup à dire sur le spectacle. Un catalogue niveau 6 ème, une construction narrative répétitive, des chorégraphies quasiment identiques, une voie off désespérante de poncifs. Le rock dans tout ça ? Avili, ramolli. Restez chez vous et écoutez ces rockeuses vous éviterez de subir ce pauvre usage de leur tripe. Sinon, il vous reste "les années bonheurs" de P.Sebastien c'est du même niveau mais sans prétention au moins.
La petite histoire du rock selon Gallotta sombre parfois dans la facilité. La chorégraphie est un peu brouillonne, et les danseurs pas toujours à la hauteur. Néanmoins on passe un moment agréable. C'est bref et enlevé.
L'hystérie positiv des critiques est invraisemblable.... Je vous recommande d'attendre les spectacles de fin d'année des collèges et primaires..! Gesticulations dénuées de sens, on vit ce que l'on vit parfois dans les fêtes de fin d'année à attendre le passage des plus petits pour cela cesse gentiment. Sauf que là il ne s'agit pas de nos enfants mais de jeunes danseuses et danseurs plus ou moins talentueux, marionnettes d'un chorégraphe marmonnant pense t'il avec élégance et esprit ces ballades d'adolescent et sa transcendance du rock de fatuitude. Rien n'est sincère des propos vaniteux et lourds des chorégraphies niaises bref la bonne nouvelle c'est que cela dure 1h05. Ah oui ce soir là des amis des danseurs et du maître étaient dans la salle hurlant Bravo Bravo...le spectacle commençait enfin.... A fuir
Un moment de vie et de nostalgie
Vibrant et magnifique spectacle de danse mais pas que ... Les danseurs et danseuses dévoilent des personnalités fortes et ce voyage au pays du Rock'n'Roll nous donne à voir les facettes sombres ou pailletées de la danse dans toute la beauté des gestes et des corps libres et enchantés.
18 rue Eugène Varlin 94800 Villejuif