En langue allemande.
Egaré dans un pays inconnu, le prince Tamino est attaqué par un serpent. Le début de son périple l’emmène à la rencontre de Papageno, de la Reine de la Nuit, et de Pamina, prisonnière de Sarastro, dont il tombe amoureux et qu’il doit délivrer. La mise en scène spectaculaire des Catalans de La Fura dels Baus et du plasticien Jaume Plensa, propulse cet ouvrage initiatique à l’aire de la vidéo. Sous la direction de Thomas Hengelbrock, le théâtre émerge comme le lieu où l’utopie d’un monde réenchanté peut se réfugier.
Livret d'Emanuel Schikaneder
Direction musicale Thomas Hengelbrock
Mise en scène Alex Ollé et Carlos Padrissa de La Fura dels Baus
Décors et costumes Jaume Plensa
Lumières Albert Faura
Vidéo Franc Aleu
Chef des Choeurs Alessandro Di Stefano
Solistes de la Maîtrise des Hauts-de-Seine / Choeur d’enfants de l’Opéra national de Paris.
Orchestre et Choeurs de l’Opéra national de Paris.
Distribution en alternance.
Très très décevant... Puissance sonore nulle (tendre l'oreille à l'opéra ?! ah bon ?!). Pièce plate sur toute la ligne. Son faible, voix pas impressionnantes, mise en scène bruyante ! La soufflerie des matelas qui interfère avec le jeu est inadmissible... Une baladeuse qui s'est perdue, un spot qui s'allume sur le côté (on est chez des amateurs ou des pros là ?!). Bref, 1er entracte, public dubitatif... 2nd entracte, on confirme, c'est mauvais... On entend des huées (couvertes par des applaudissements incongrus en plein milieu de la pièce). A la fin, des gens quittent la salle avant le salut de la troupe. Ceux qui restent ne créent pas un tonnerre d'applaudissement, et les huées sont là pour accueillir les metteurs en scène. Le rideau tombe vite, se rouvre, mais les gens sont déjà levés et partis. Pauvre Mozart... et pauvre public !
Très très décevant... Puissance sonore nulle (tendre l'oreille à l'opéra ?! ah bon ?!). Pièce plate sur toute la ligne. Son faible, voix pas impressionnantes, mise en scène bruyante ! La soufflerie des matelas qui interfère avec le jeu est inadmissible... Une baladeuse qui s'est perdue, un spot qui s'allume sur le côté (on est chez des amateurs ou des pros là ?!). Bref, 1er entracte, public dubitatif... 2nd entracte, on confirme, c'est mauvais... On entend des huées (couvertes par des applaudissements incongrus en plein milieu de la pièce). A la fin, des gens quittent la salle avant le salut de la troupe. Ceux qui restent ne créent pas un tonnerre d'applaudissement, et les huées sont là pour accueillir les metteurs en scène. Le rideau tombe vite, se rouvre, mais les gens sont déjà levés et partis. Pauvre Mozart... et pauvre public !
Place de la Bastille 75012 Paris
Réservation possible également au 01 40 13 84 65 pour les places non disponibles en ligne et/ou pour les choisir.
Accès en salle uniquement sur présentation du billet électronique que vous recevrez par email.