La Leçon nous présente une bachelière énergique venant prendre un cours particulier chez un vieil enseignant timide. Le cours commence par des mathématiques, suit un cours de linguistique au cours duquel le professeur, de plus en plus agressif et autoritaire vampirise son élève devenue apathique, jusqu'à l'assassiner. C'est alors qu'une nouvelle victime se présente continuant le cycle des meurtres à répétition !
" Dans La Leçon, ce n'est pas l'histoire qui est importante, ce ne sont pas des personnages particuliers que Ionesco met en scène. La Leçon est ce qu'il a appelé un drame " pur " qui présente une " action modèle de caractère universel " . Dans ce face à face d'une élève et d'un professeur, c'est à la dynamique entre le pouvoir et le savoir que nous sommes confrontés "
Samuel Sené
Distibution en alternance.
« La Leçon mise en scène par Samuel Sené est montée comme une stupéfiante scène de pouvoir et de séduction entre un professeur maniaque et une jeune fille innocente menée sous l’œil inquiétant de Marie, la gouvernante de la maison… C’est traité de manière originale et suffisamment équivoque pour qu’on se prenne au jeu. » Télérama, 19 août 2010
Eugène Ionesco hurlait à l'idée qu'on traite son théâtre d'absurde. Ce n'est n'est pas - je cite- "l'auteur du comique de l'absurde par excellence". Son objectif avec "La leçon" était d'écrire un drame comique. C'est-à-dire une pièce, pas délirante, mais qui oscille entre rire et peur.
Voilà une critique construite et détaillée [commentaire modéré]
Critique disponible sur le blog SOS! : [commentaire modéré]
Eugène Ionesco hurlait à l'idée qu'on traite son théâtre d'absurde. Ce n'est n'est pas - je cite- "l'auteur du comique de l'absurde par excellence". Son objectif avec "La leçon" était d'écrire un drame comique. C'est-à-dire une pièce, pas délirante, mais qui oscille entre rire et peur.
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