Demain, l'intraitable docteur Bartholo doit épouser en secret Rosine, sa jeune pupille. Mais le séduisant comte Almaviva et le malicieux barbier Figaro rôdent sous ses fenêtres. Sérénades, intrigues et complots. Tous les coups sont permis ! Une comédie vive et enjouée, un chef-d'oeuvre du répertoire français, un langage flamboyant, Le Barbier de Séville est tout cela à la fois. L'insolence de Figaro, l'esprit et le rire de Beaumarchais, l'allégresse des comédiens, vous feront goûter un pur moment de plaisir. "Beaumarchais a la phrase ramassée et lumineuse. Il a le mot qui flamboie, il a le trait. Il a surtout le mouvement, un mouvement endiablé." (Sarcey)
« Nous avons plus que jamais besoin de Figaro, de son insolence sans ressentiment, de sa liberté de ton qui ne tombe jamais dans l’agression. Le rire de Beaumarchais est la meilleure médecine que l’on puisse administrer à nos concitoyens : un rire franc et clair, le rire d’un homme libre « qui se moque des sots et brave les méchants ».
C’est ce rire et cette liberté de ton qui forment le secret de la jeunesse inaltérable de cette pièce. C’est eux que nous avons voulu mettre en valeur : visuellement en nous inspirant des tableaux colorés et lumineux du jeune Goya, musicalement en faisant appel au répertoire musical enchanteur de l’Espagne et de l’Amérique latine – du paso doble à la salsa.
Nous avons souhaité offrir au spectateur un pur moment de plaisir : plaisir du jeu, scintillement du style, rythme qui gomme toutes les invraisemblances, gaieté irrévérencieuse. On chante, on danse, on se bouscule, on se cherche et on se cache. Les répliques fusent à un rythme soutenu, les péripéties abondent. Le langage est à lui seul une fête. » Sophie Lorotte
Créée en 1997, la Compagnie des Feuillantines a présenté en 1998 Le Plaisir de Rompre et Le Pain de Ménage de Jules Renard, mêlant charme et amertume, légèreté et cruauté. En 1999, elle offre au public La Bonne Mère de Goldoni, une comédie pétillante de charme et d’audace, de fantaisie et d’enthousiasme, dans laquelle la musique et la danse viennent souligner la truculence du texte.
Le Plaisir de Rompre et Le Pain de Ménage
Mai 1998 : Centre d’Animation des Halles (Paris)
Juillet 1998 : Théâtre des Songes (Paris)
Septembre 1998 : Théâtre du Funambule (Paris)
Octobre-Novembre 1998 : Tournée dans l’Oise et les Yvelines (Crépy en Valois, Clermont, Mouy, Epône, ...)
La Bonne Mère
Septembre-Décembre 1999 : Théâtre du Funambule (Paris)
Décembre 1999: Tournée dans l’Oise et les Yvelines (Crépy en Valois, Le Mesnil Le Roi, ...) Juillet 2000 : Festival d’Avignon
Octobre-Novembre 2000 : Seconde tournée dans les Yvelines (Le Chesnay, La Celle Saint Cloud, ...)
Janvier 2001: Représentation à Saint Marcel (Eure)
" Des acteurs déchaînés… Un vrai régal de mise en scène. " Le Midi Libre
"... Un spectacle pour réconcilier la jeune génération avec les classiques....De très beaux moments de théâtre...Allez-y!" Le Figaro
"... La délectation des acteurs suscite la nôtre... Dialogues vifs et chassés-croisés électriques articulent un ensemble bouillonnant..." L'Humanité Hebdo
"... Insolence, liberté de ton, humour et sérénades sont au programme de ce chef-d'œuvre..." Paris Boum-Boum
"... Un très joli moment de théâtre où l'on rit beaucoup. A découvrir!..." France Bleu
"... La jeunesse inaltérable d'un texte insolent mais jamais amer... Une pièce franchement comique..." Valeurs Actuelles
"... Les mouvements et les ivresses d'un rythme à la diable..." La Terrasse
"... Un texte superbe..., une mise en scène bourrée d'humour et une troupe de talent avec du punch à revendre: il vous fallait autre chose?... Vous ressortirez du théâtre avec une inoxydable bonne humeur!" Gayvox.com
" Loufoque à souhait ! On rit, mais on rit !... Un divertissement délirant..." France Catholique
Que du bon! que du très bon! Bravo! Beaumarchais serait content.
J'ai adoré ce spectacle qui, tout en respectant Beaumarchais à la virgule, fait évoluer un délire permanent. Les acteurs sont fabuleusement bons (j'ai, pour ma part, particulièrement aimé Don Bazile), et les intermèdes musicaux sont une idée géniale. Je pense que la techno de la fin (qui justifie sa place parce qu'il s'agit d'un morceau espagnol) n'est qu'un aboutissement logique dans l'évolution du "délire" dont je parlais plus haut. Bravo à tous ! J'espère que ce spectacle fera parler de lui... et de vous !
Un spectacle très bien interprété, où l'humour a sa place et dans lequel les acteurs semblent vraiment se donner à fond. Seule critique : cette fin sur fond de techno...d'où vient cette idée?
Que du bon! que du très bon! Bravo! Beaumarchais serait content.
J'ai adoré ce spectacle qui, tout en respectant Beaumarchais à la virgule, fait évoluer un délire permanent. Les acteurs sont fabuleusement bons (j'ai, pour ma part, particulièrement aimé Don Bazile), et les intermèdes musicaux sont une idée géniale. Je pense que la techno de la fin (qui justifie sa place parce qu'il s'agit d'un morceau espagnol) n'est qu'un aboutissement logique dans l'évolution du "délire" dont je parlais plus haut. Bravo à tous ! J'espère que ce spectacle fera parler de lui... et de vous !
Un spectacle très bien interprété, où l'humour a sa place et dans lequel les acteurs semblent vraiment se donner à fond. Seule critique : cette fin sur fond de techno...d'où vient cette idée?
94, rue du Faubourg du Temple 75011 Paris