François Morel, le père et Valentin, le fils se rejoignent sur scène pour une lecture à deux voix des meilleures pages d’un dictionnaire pas comme les autres.
Après avoir écrit ce livre malicieux à quatre mains, édité chez Plon, François Morel, le père et Valentin, le fils se rejoignent sur scène pour une lecture à deux voix des meilleures pages d’un dictionnaire pas comme les autres.
François parle à la radio, le vendredi matin sur France Inter et monte sur les planches ; il a la drôlerie des années 50 mêlées à l’humour d’aujourd’hui. Valentin a été assistant réalisateur au cinéma,
puis l’heureux chauffeur de Jean-Pierre Bacri. Il est actuellement en pleine reconversion professionnelle.
Leur livre plein d’échos et de réminiscences est aussi indispensable qu’inutile. Une promenade de A à Z dans nos émotions. Un dictionnaire alliant futile et indispensable : commentant les souvenirs et évocations des ricochets et des cocottes en papier, l’expression « peigner la girafe », les petits trains électriques, les télégrammes de première et les speakerines....
L’ouvrage pose aussi ses questions fondamentales : L’homme est-il plus utile que la langouste ? La pomme de terre est-elle plus indispensable que le liseron ? L’idiot du village moins nécessaire que le membre de l’Institut ? ...
Les notices et définitions de leur dictionnaire musardent et vantent les mérites de la grasse matinée et des contrepets dans les discours des ministres, ou comble du confort domestique : explicite comment se sentir mieux, rien qu’en écoutant la météo marine bien au chaud sous la couette...
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