À partir de 8 ans.
« Pour qu’un théâtre de troupe soit brillant, il faut que la troupe le soit, et c’est peu de dire que c’est le cas ici. » Fabienne Darge, Le Monde
« Tout l’art de Denis Podalydès est, au fil d’une mise en scène au rythme allègrement alerte, de préserver en permanence le rire. » Didier Méreuze, La Croix
« Le public salue comme il se doit le Scapin fourbu et ses acolytes : par une ovation. » Philippe Chevilley, Les Échos
« Excellentes fourberies ! » L’OBS, Jacques Nerson
« Grâce à Denis Podalydès et à son « Scapin », la Comédie-Française est à son plus haut dans la maison de Molière. » Brigitte Hernandez, Le Point
« Du grand art pour une comédie jubilatoire. » S.M., Le Parisien
« On rit à gorge déployée, on sort de là régénéré. » J.-L. P., Le Canard enchaîné
« Dans la maison de Molière, Denis Podalydès et la troupe de la Comédie-Française livrent une excellente version des Fourberies de Scapin, drôle, dense, surprenante… mémorable. » Éric Demey, La Terrasse
Lors de nos premières discussions autour de ces Fourberies de Scapin, Denis Podalydès m’a appris qu’à la création de la pièce, le plateau de Molière était en travaux et qu’il ne restait par conséquent pour le jeu qu’un espace très réduit. S’ajoutait à cela la volonté de Molière qui, lassé des grands divertissements de cour, désirait revenir à un théâtre basé sur l’acteur, à la tradition italienne, celle des tréteaux aux dimensions scéniques naturellement contraintes.
Autant le Scapin de Jean-Pierre Vincent gambadait il y a vingt ans sur les toits de Naples, autant Denis avait l’intuition que pour trouver le sien, il faudrait descendre et s’aventurer dans des bouges du port, les culs de basse-fosse et les lieux interlopes de docks au commerce illicite. J’ai tenté de résoudre cette équation en réduisant l’espace de jeu à l’avant-scène, et en créant au lointain une simple perspective sur la mer, direction de départs sans retour – mais qu’allait-il faire dans cette galère ? Cette petite plage incertaine que l’on sent envahie régulièrement par les eaux sales du port est le décor unique, le royaume de Scapin, son territoire réservé. C’est là qu’il fait affaire, là qu’il traite de sombres tractations, qu’il roule et qu’il échappe, c’est là surtout qu’il venge tous les enfants de la violence des pères en bastonnant Géronte à volonté. Un décor en forme de môle marin sur fond de toile marine. Tréteaux quelque peu améliorés de quelques sorties dans les dessous et les dessus mais préservant et appelant la qualité pure des acteurs de la Troupe.
Éric Ruff
bravo aux comédiens et au metteur en scène, spectacle exceptionnel on a l'impression que cette pièce vient d'être créée
Ça aurait pu être excellent si on n’etait Pas placé au dernier rang ! Compte tenu du prix des places , on devrait être averti au moment de la réservation !!!
Pour 2 Notes
bravo aux comédiens et au metteur en scène, spectacle exceptionnel on a l'impression que cette pièce vient d'être créée
Ça aurait pu être excellent si on n’etait Pas placé au dernier rang ! Compte tenu du prix des places , on devrait être averti au moment de la réservation !!!
16, place Stalingrad 92150 Suresnes
Navette gratuite Paris - Suresnes : Une navette est mise à votre disposition (dans la limite des places disponibles) pour vous rendre aux représentations du Théâtre.
Départ de cette navette 1h précise avant l’heure de la représentation (ex. : départ à 19h30 pour une représentation à 20h30), avenue Hoche (entre la rue de Tilsitt et la place Charles de Gaulle-Étoile), du côté des numéros pairs. À proximité de la gare Suresnes-Longchamp (Tram 2), la navette peut marquer un arrêt sur le boulevard Henri-Sellier (à l’arrêt des bus 144 et 244 (direction Rueil-Malmaison), 25 minutes environ avant la représentation. Faites signe au chauffeur.
La navette repart pour Paris environ 10 minutes après la fin de la représentation, et dessert, à la demande, l’arrêt Suresnes-Longchamp, jusqu’à son terminus place Charles de Gaulle-Étoile.