Les maux bleus

À partir de 12 ans.

• Un face à face salutaire avec la violence

2 comédiennes, 15 personnages, 1 certitude : la violence n’est pas une question de genre mais de pouvoir. Grâce à une succession de tableaux, tantôt émouvants tantôt drôles, la pièce met en lumière cette part d’ombre de la société à travers différents points de vue : victimes, témoins et bourreaux.

La création Les Maux Bleus expose de façon intense, poignante et sans concession toutes les formes de violences faites aux femmes : tant physiques que psychologiques, elles sont multiples, insidieuses, courantes, invisibles, révoltantes… Un face à face salutaire avec la violence pour mieux l’écouter, la comprendre et l’éradique. Texte acéré, sublime, juste et profond, d’une vérité si criante que même l’humour qui y est saupoudré ne parvient pas toujours à contenir les larmes, interprétation magnifique et bouleversante, mise en scène fine et délicate, Les Maux Bleus est assurément une œuvre théâtrale vibrante, authentique, salvatrice, profondément humaniste et remplie d’espoir. On est touché en plein cœur !

• La presse

« Une troupe de théâtre multiplie les interventions en prison avec Les Maux Bleus qui aborde le thème des violences faites aux femmes. Une pièce sans concession jouée devant les détenus pour les interpeller... » France Info Culture

« Une pièce coup de poing sur les violences faites aux femmes […] un spectacle qui touche au cœur » Sandrine Blanchard, Le Monde, 10 juillet 2021

« Cette pièce procure toutes les émotions. Pourquoi il faut absolument aller la voir? Pour voir une pièce qui traite des violences de la société sans entrer dans les clichés habituels. Les Maux Bleus c’est à la fois émouvant, plein de vérité et drôle alors il n’y a plus qu’à y aller ! » France Bleu Vaucluse

« Le fil rouge de ces « maux bleus » : les violences infligées aux femmes. Tantôt dures et parfois drôles, elles sont jouées avec énergie par Chrystelle Canals et Milouchka, interprètes mais aussi autrices de cette pièce où transparaît une rage légitime qu’on devine puisée dans leur vécu. » La Provence