Loin des hommes

À partir de 14 ans

• Une liberté à l'écart

C’est loin des hommes que la parole prend parfois le risque d’être libre. L’est-elle vraiment un jour ?

Un soir, dans une station-service, un homme et une femme se croisent, ils ne se connaissent pas. Ce regard échangé va entrer en résonance avec leurs vies de paumés, leurs vies de résolutions perdues, de compromis assassins.

Loin des Hommes est une pièce d’humeur, de mood, on n’y trouve pas d’enjeux, rien à défendre, pas d’argumentaire. Juste l’écriture de deux êtres perdus qui pendant un moment vont s’interroger sur leurs choix, leurs vies et les chemins qu’ils ont pris.

C’est loin des hommes que les masques tombent, c’est loin des hommes que la frontière entre l’animal et l’homme lentement se dissout, c’est loin des hommes que la vie prend ou perd tout son sens.

Loin des Hommes raconte deux êtres qui affrontent la nuit et son silence. Personne n’affronte la nuit impunément, sans prendre le risque de faire face à lui même. C’est le dessin cru, intime, d’un homme, d’une femme et du monde qu’ils se sont construits.

• La Presse

« Dans un dispositif scénique minimaliste, sans décor, la pièce donne à entendre un homme – joué par Fontano, impeccable – puis une femme– incarnée par Véronique Sacri, d’une justesse magnétique » Les Inrockuptibles

« La beauté du texte de Vincent Fontano tient à sa simplicité brute, sans apprêt. Il donne à voir et à entendre des êtres juste mal dans leur vie, dans leur être, et qui cherchent désespérément à aller mieux. Parler leur fait du bien, les écouter, aussi. » Télérama

« Violemment humain » L’Humanité

« Loin des Hommes est de ces textes qui remuent l’air de rien, l’air de tout. » Franceinfo

« La bouleversante Véronique Sacri supplante sa voix paradoxale, douce mais tragique, au spleen sourd et poétique de Fontano. » l’Oeil d’Olivier