Fort du succès de son spectacle Céline, Derniers Entretiens, à l’affiche pendant trois années à Paris, Stanislas de la Tousche – toujours en duo avec Géraud Bénech pour la mise en scène – revient à Céline et nous propose cette fois une traversée onirique des premiers chapitres de Mort à crédit, entre tendresse et humour corrosif.
Mort à crédit, publié quatre ans après le succès immense du Voyage au Bout de la Nuit, surprend critiques et lecteurs. Avec ce roman au titre énigmatique qui nous immerge dans le monde disparu de son enfance, Céline innove, cherche son style, son rythme, sa « musique ». Il a un seul objectif en tête : faire jaillir l’émotion – le maître mot – dans l’oreille du lecteur.
Mort à crédit est le grand roman d’apprentissage du XXe siècle, à la fois tendre, burlesque et sans concession sur les hommes et le monde.
C’est aussi, à sa manière, une « recherche du temps perdu » qui parle à notre sensibilité en ravivant l’écho de nos souvenirs d’enfance.
Fort du succès de son spectacle Céline, derniers entretiens, à l’affiche pendant trois années à Paris, Stanislas de la Tousche – toujours en duo avec Géraud Bénech pour la mise en scène – revient à Céline et nous propose cette fois une traversée onirique des premiers chapitres de Mort à crédit, entre tendresse et humour corrosif.
A propos du précédent spectacle Céline, derniers entretiens : « Avec une incroyable fidélité, l'acteur fait revivre sur scène Louis-Ferdinand Destousches. Et c’est bien du théâtre. » Le Figaro / « La rencontre entre un auteur et un acteur relève parfois d'un miracle... » Télérama / « Un véritable tour de force, sans complaisance ; un exercice de théâtre bluffant, remarquable. » L’Humanité / « Pendant 1h15, on rencontre Louis-Ferdinand Céline, les yeux dans les yeux. » La Croix
« Stanislas de la Tousche ressemble physiquement à Céline comme une photocopie à son modèle, comme un acteur de biopic à son personnage. La similitude extérieure est troublante et facilite d’autant l’identification au narrateur. » Culture Tops
« Il s’agit de l’excellente mise en scène (de Géraud Bénech) de Mort à crédit brillamment interprétée par Stanislas de la Tousche (ressemblance frappante avec Céline)… » Critiques Théâtre Paris
« La mise en scène très cohérente et efficace. Il n’en fallait pas plus pour nous emmener dans un autre monde. » 20h30 Lever de rideau
« Dans une mise en scène magistrale de Géraud Bénech, Stanislas de la Tousche, saisissant par sa ressemblance avec l’auteur… nous révèle toute la mesure de son talent. » Politique Magazine
« Il ressemble à s’y méprendre à Céline… Énergie du formidable acteur, particulièrement juste dans son rendu de la musicalité célinienne, de la rythmique de son ton et de son accent parisien… On aimerait que le spectacle dure jusqu’au bout de la nuit. » Le Figaro
« Le brio du phrasé de Céline, habilement interprété par Stanislas de la Tousche. Il nous emporte dans ce récit trépidant autant que touchant... Son travail pour s'imprégner pleinement des mots de l'auteur est bouleversant, si bien que l'on se trouve désarmés face à Céline - presque - en personne. » It Art Bag
« Un seul en scène éblouissant. Stanislas de la Tousche ne joue pas Céline, il EST Céline, [...] revenu d'entre les morts pour nous raconter son enfance, celle de Ferdinand dans Mort à crédit. La mise en scène [est] magistrale. Un choc ! » Le Journal du Dimanche
« Le choix judicieux de l’adaptation théâtrale de ces premiers chapitres permet à Stanislas de la Tousche, qui incarne à s’y méprendre Céline, de donner la pleine mesure de son talent de cocasserie, de gestuelle efficace, d’alternance entre subjonctif, métaphores visuelles et verdeur scatologique et argotique, qui caractérisent la langue de Céline. » Spectacles Sélection
« Captivant, Émouvant, Excellent. Stanislas de la Touche nous enchante et nous captive, il nous entraîne avec un prodigieux talent à travers les premiers chapitres de Mort à Crédit, tendres, piquants, cruels et ne manquant pas d’ironie. » Critique Théâtre Clau
Les mots crus exposent/explosent en renforçant un vécu sordide au frontière de la violence. Cela percute de plein fouet et vous en prenez "plein la g..." Stanislas de la Tousche nous propulse dans cette féroce brutalité avec une rare acuité.
Je suis sortie revigorée, nourrie de ce contact vivant avec ces textes magnifiques. Très touchée aussi par ce je ne sais quoi de très humain de Stanislas de La Touche.
Nous étions sous le charme textuel et présentiel (pardoin du néologisme) de cette belle heure. Les trois tranches de textes choisies étaient bien choisies . Je ne m'attendais pas au coté désoplant de la traversée maritime ; un morceau d'anthologie; ; et quelle tendresse pour l'évocation de l'enfance mal aimée -par son père. Cette prestation devait etre accessible au tous les lycéens ! Bravo . François
Rien de plus à ajouter que l’avis du media It Art Bag cité dans les critiques de la presse. Mon père, grand admirateur de l’œuvre de Céline, a été « bluffé » par l’interprétation de Stanislas de La Tousche qui, une fois de plus, s’est révélé brillant.
Pour 5 Notes
Les mots crus exposent/explosent en renforçant un vécu sordide au frontière de la violence. Cela percute de plein fouet et vous en prenez "plein la g..." Stanislas de la Tousche nous propulse dans cette féroce brutalité avec une rare acuité.
Je suis sortie revigorée, nourrie de ce contact vivant avec ces textes magnifiques. Très touchée aussi par ce je ne sais quoi de très humain de Stanislas de La Touche.
Nous étions sous le charme textuel et présentiel (pardoin du néologisme) de cette belle heure. Les trois tranches de textes choisies étaient bien choisies . Je ne m'attendais pas au coté désoplant de la traversée maritime ; un morceau d'anthologie; ; et quelle tendresse pour l'évocation de l'enfance mal aimée -par son père. Cette prestation devait etre accessible au tous les lycéens ! Bravo . François
Rien de plus à ajouter que l’avis du media It Art Bag cité dans les critiques de la presse. Mon père, grand admirateur de l’œuvre de Céline, a été « bluffé » par l’interprétation de Stanislas de La Tousche qui, une fois de plus, s’est révélé brillant.
J'avais adoré " les derniers entretiens" de Céline , pièce jouée par le même acteur ........Il EST Céline, comme j'aime à me le représenter. J'ai retrouvé hier la subtilité, la verve, les excès de ce grand auteur.......et le charisme et l'énergie de ce grand comédien. Céline a raté le Goncourt ......Il ne faudrait pas que Stanislas de la Tousche rate pas un Molière ... Courez y !!!!!!!!
5, rue de Blainville Paris 75005 Paris