Comment ça va quand plus rien ne va ? C’est ce que vont découvrir Daniel et Arielle, qui se croisent de manière improbable sur un pont parisien à 3h du matin.
Problème : ils se connaissent et se détestent.
Cette rencontre inattendue entre la militante végane et le PDG vieux jeu, vire vite au règlement de compte. Pourtant, une chose va peut-être les réunir : que sont-ils venus faire sur ce pont ?
L'histoire de la pièce est assez originale et malgré le sujet du suicide, et de bien d'autres sujets graves, les comédiens ne tombent pas dans le piège du pathos. Le texte est frais et les comédiens sont réellement bons. À voir absolument !
Cette citation d'un très célèbre philosophe, un certain Audiard ,m'est venues(pont)anément, tout comme le cri du cœur du grand Georges B... Mes références à moi. Les deux comédiens sont pleins d'une belle énergie, ils ont un jeu sincère malgré un texte assez faiblard, ni Shakespeare ni Audiard, quant à Devos n'en parlons pas... Donc sous le pont coule la "scène" et nos deux protagonistes restent à quai, à la nuit tombée, le boulet existentiel aux pieds, prêts à en finir"la vie, c'est finie, et dire..."Chats...bada bada. Que c'est long la vie en heures creuses, mais ouf, de ouf, nos deux candidats au suicide assisté nous font passer du très peu au trépas, du tout au tout.. Le tronc, c'est pour les pièces, j'avais les jambes sciées et les bras m'en sont tombés… C'est alors que les personnages prennent corps. Les deux sympathiques comédiens, elle et lui, finiront copains comme cochons, place des clichés.
Pour 2 Notes
L'histoire de la pièce est assez originale et malgré le sujet du suicide, et de bien d'autres sujets graves, les comédiens ne tombent pas dans le piège du pathos. Le texte est frais et les comédiens sont réellement bons. À voir absolument !
Cette citation d'un très célèbre philosophe, un certain Audiard ,m'est venues(pont)anément, tout comme le cri du cœur du grand Georges B... Mes références à moi. Les deux comédiens sont pleins d'une belle énergie, ils ont un jeu sincère malgré un texte assez faiblard, ni Shakespeare ni Audiard, quant à Devos n'en parlons pas... Donc sous le pont coule la "scène" et nos deux protagonistes restent à quai, à la nuit tombée, le boulet existentiel aux pieds, prêts à en finir"la vie, c'est finie, et dire..."Chats...bada bada. Que c'est long la vie en heures creuses, mais ouf, de ouf, nos deux candidats au suicide assisté nous font passer du très peu au trépas, du tout au tout.. Le tronc, c'est pour les pièces, j'avais les jambes sciées et les bras m'en sont tombés… C'est alors que les personnages prennent corps. Les deux sympathiques comédiens, elle et lui, finiront copains comme cochons, place des clichés.
6, rue Frochot 75009 Paris